Dans le passé, j’ai parlé de nombreuses fois de notre devoir de soutenir les ouvriers du Seigneur qui, à cause de leur âge avancé ou d’une fragilité due à une exposition à des risques ou à un dur labeur dans l’œuvre du Seigneur, ne peuvent plus porter les fardeaux qu'ils portaient autrefois. Quand ces ouvriers fidèles tombent malades, nous devrions leur manifester de l'intérêt et voir s’ils ne souffrent pas par manque du nécessaire. C’est à la fois un privilège sacré et un devoir. [...] Mes frères, il est juste que des plans sûrs soient faits pour le soutien de nos ouvriers âgés, ou pour des ouvriers plus jeunes qui souffrent de surmenage. Il est juste qu'un fonds soit créé pour soulager ces fidèles soldats qui désirent toujours mettre leur cerveau, leurs os et leurs muscles au service de la diffusion du dernier avertissement à donner au monde. Ne nous lassons pas de soutenir les porteurs d'étendard souf* frants et âgés, qui ont dans le passé travaillé fidèlement, mais qui sont maintenant incapables de mener à bien le travail comme ils l'ont fait auparavant. C’est une part de notre devoir actuellement — Lettre 10, 1911, p. 1, 2 (à E.A. Palmer, 7 mars 1911). 3MI 235.4
Publié le 12 décembre 1966.