Faisons profiter beaucoup de gens de l'influence heureuse de nos foyers, et que nos relations sociales ne soient pas dictées par la coutume mondaine, mais par l'esprit du Christ et les enseignements de sa Parole. Les Israélites invitaient à toutes leurs fêtes le pauvre, le Lévite et l'étranger. Le Lévite, à la fois assistant du prêtre, conducteur religieux et missionnaire, était l'hôte du peuple à chaque réjouissance sociale ou religieuse; s'il tombait malade ou se trouvait dans le dénuement, on prenait soin de lui avec sollicitude. Ce sont de telles personnes que nous devrions accueillir dans nos demeures. Cela remplirait de joie et de courage l'infirmière, l'instituteur ou l'institutrice, la mère de famille chargée de soucis et accablée de travail, l'être affaibli et le vieillard souvent sans famille qui luttent contre la pauvreté et le découragement. RS 28.3
“Lorsque tu donnes à dîner ou à souper, dit le Christ, n'invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches, de peur qu'ils ne t'invitent à leur tour et qu'on ne te rende la pareille. Mais, lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles. Et tu seras heureux de ce qu'ils ne peuvent pas te rendre la pareille; car elle te sera rendue à la résurrection des justes.”3Luc 14:12, 14. RS 29.1
Il est des hôtes faciles à recevoir sans dérangement, sans repas compliqués et coûteux. Un accueil chaleureux, un siège à votre table, le plaisir de participer à la prière seraient pour beaucoup d'entre eux comme un rayon céleste. RS 29.2