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    Chapitre 4—Choix des colporteurs évangélistes

    Des chrétiens désireux de servir Dieu — Puisque le colportage de nos livres est un travail missionnaire, il doit être dirigé du point de vue missionnaire. Ceux que l’on choisit comme colporteurs devraient être des hommes et des femmes ayant à cœur ce travail et dont le but n’est pas de gagner de l’ar-gent, mais d’éclairer le monde. Ils doivent travailler à la gloire de Dieu et porter la lumière de la vérité à ceux qui sont dans les ténèbres. Principes égoïstes, amour du gain, rang social, position ne devraient pas exister parmi eux. — Tém., vol. II, p. 625. (1900)LCE 30.1

    Précautions dans le choix des ouvriers — Le colportage évangélique est une œuvre plus importante que beaucoup ne l’ont cru; il importe donc d’exercer autant de soin et de sagesse dans le choix des colporteurs évangélistes que dans celui des prédicateurs. On peut apprendre aux jeunes gens à faire un travail meilleur que par le passé et à moindres frais. Elevons le niveau de nos exigences, que ceux qui aiment Dieu et leurs semblables et qui sont disposés au sacrifice se joignent à l’armée des ouvriers. Qu’ils viennent, non pas dans l’espoir de trouver leurs aises, mais pour se montrer courageux face à la difficulté. Choisissons donc, parce qu’ils en ont eux-mêmes apprécié la valeur, ceux qui peuvent parler en faveur de nos publications. — Test., vol. V, p. 405, 406. (1885)LCE 30.2

    Il importe que nos frères fassent preuve de sagesse dans le choix des colporteurs évangélistes, s’ils ne veulent pas que la vérité soit mal représentée et mal comprise. Ils devraient assurer aux bons ouvriers une marge de bénéfices suffisante sans que cela représente pour autant une manière de les « acheter », ce procédé risquant de les rendre égoïstes et dépensiers. Que tout soit fait pour développer en eux le véritable esprit missionnaire et les qualités nécessaires au succès. L’amour de Jésus fera comprendre au colporteur que c’est un grand privilège que de travailler à faire connaître la lumière. Ce travail fera alors l’objet de son étude, de ses plans et de ses prières. — Test., vol. V, p. 403. (1885)LCE 31.1

    Certains mieux qualifiés que d’autres — Certains sont mieux qualifiés que d’autres pour faire un travail donné ; c’est pourquoi il n’est pas juste de penser que n’importe qui peut être colporteur. D’aucuns ne sont pas qualifiés pour cette œuvre ; mais il ne faut pas les considérer pour cela comme manquant de foi ou de bonne volonté. Le Seigneur n’est pas déraisonnable dans ses exigences. L’Eglise ressemble à un jardin où croissent des fleurs variées ayant chacune ses particularités. Quoique sous bien des rapports chacune soit différente des autres, toutes ont leur valeur intrinsèque.LCE 31.2

    Dieu ne s’attend pas que ses enfants, avec leurs tempéraments différents, soient tous capables de remplir n’importe quelle fonction. Que chacun se souvienne qu’il y a différents dons. Il n’appartient à aucun homme de prescrire à un autre un travail contraire à la conception qu’il se fait de son devoir. C’est très bien de donner des conseils et de suggérer des plans ; mais chacun devrait être laissé libre de rechercher auprès du Dieu qu’il sert et auquel il appartient les directives dont il a besoin. — Tém., vol. II, p. 641. ( 1900)LCE 32.1

    Il est des jeunes gens et des jeunes filles qui, au lieu d’être astreints à une activité machinale, devraient être engagés dans le ministère évangélique en qualité d’ouvriers bibliques ou de colporteurs. — Review and Herald, 16 mai 1912.LCE 32.2

    Des gens capables, adroits et prévoyants — Des missionnaires sont partout nécessaires. Dans toutes les parties du champ mondial, des colporteurs devraient être choisis non pas parmi l’élément flottant de la société, non parmi ceux qui ne sont bons à rien d’autre et n’ont jamais eu de succès nulle part, mais parmi ceux à qui leur éducation a inculqué de la distinction dans les manières et qui font preuve de tact, d’intuition et d’adresse. De tels hommes font des colporteurs évangélistes appréciés.LCE 32.3

    Il arrive que l’un d’eux, flatté par un pasteur imprudent, aspire à faire mieux que vendre des livres et demande à devenir prédicateur. Non seulement l’œuvre du colportage s’en trouve dépréciée, mais des hommes qui, par leur formation, pouvaient faire œuvre de missionnaire au sein des familles pour parler et prier avec elles, deviennent de médiocres ministres ; et le champ, où il y a tant à faire, demeure négligé. Le colporteur efficace et fidèle devrait, comme le prédicateur, jouir de moyens d’existence suffisants. — Test., vol IV, p. 389, 390. (1880)LCE 32.4

    Les mieux doués — Il n’est pas donné à chacun de savoir colporter. Ceux qui sont les mieux doués pour cela et qui désirent faire ce travail intelligemment, systématiquement, avec une énergie persévérante, sont ceux qui doivent être choisis. Un plan longuement mûri devrait être établi et fidèlement exécuté ; toutes nos églises devraient comprendre l’importance capitale du travail missionnaire. — Test., vol. IV, p. 390. (1880)LCE 33.1

    Des chrétiens expérimentés — C’est parmi de jeunes chrétiens que doivent être choisis ceux qui diffuseront les livres renfermant la vérité présente. Toutefois, il faut éviter de faire entrer dans l’œuvre du colportage des jeunes gens n’ayant aucune expérience religieuse, car ils ne sont pas en mesure de représenter convenablement la précieuse vérité qu’ils seraient appelés à répandre. Cette manœuvre de la part des responsables manquerait de loyauté tant envers ces jeunes gens qu’envers l’œuvre de Dieu. Le colportage est une tâche sacrée, et ceux qui l’entreprennent doivent être capables de rendre témoignage du Christ. — Review and Herald, 7 octobre 1902.LCE 33.2

    Le colportage est la meilleure école où acquérir une expérience chrétienne. Avant d’encourager quelqu’un à entrer dans l’œuvre à quelque titre que ce soit, il faut s’assurer qu’il est réellement converti. Ensuite, qu’il se mette à l’œuvre et Dieu travaillera avec lui. — Manuscript 126. (1899)LCE 34.1

    Une tâche sacrée — Le côté sacré de l’œuvre du colportage est à considérer. Ceux dont les mains et le cœur sont souillés ne devraient pas être encouragés à l’entreprendre, les anges de Dieu ne pouvant les accompagner dans les foyers à visiter. Empêchons donc d’exercer une activité se rapportant à la vérité divine toute personne inconvertie, à la pensée et au cœur corrompus, entachant tout ce qu’elle touche de ses imperfections. — Review and Herald, 20 mai 1890.LCE 34.2

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