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    Chapitre 5—Les élèves de nos écoles et le colportage

    Un plan divin pour les élèves de nos écoles — Le Seigneur a institué un plan grâce auquel beaucoup d’élèves de nos écoles peuvent profiter de leçons pratiques assurant le succès au long des années à venir. Dieu nous a donné le privilège d’avoir à répandre de précieux ouvrages destinés à faire connaître notre œuvre éducative et sanitaire.LCE 35.1

    En accomplissant ce travail, les jeunes gens apprendront, par l’expérience, à faire face à certains problèmes qui se poseront à eux là où ils seront appelés à travailler plus tard. Savoir, par exemple, comment aborder quelqu’un avec courtoisie et faire preuve de tact en présentant certains points de la vérité présente ; rester économes au milieu du succès, qualité indispensable à ceux qui travailleront en pays de mission. — Review and Herald, 4 juin 1908.LCE 35.2

    Nos écoles doivent préparer des colporteurs évangélistes — Nos écoles ont été établies par le Seigneur et, si elles sont dirigées selon ses desseins, les jeunes qui y sont envoyés seront rapidement préparés en vue d’entrer dans les différentes branches de l’œuvre missionnaire, certains comme infirmiers et infirmières, d’autres en tant que colporteurs ou évangélistes, instituteurs ou institutrices, enfin, comme prédicateurs de l’Evangile. — Review and Herald, 15 oct. 1903.LCE 35.3

    Une occasion pour les élèves de nos écoles — La fin de l’année scolaire est, pour beaucoup d’élèves, l’occasion d’aller colporter. Le colporteur fidèle parvient à pénétrer dans bien des foyers où il laisse des publications contenant la vérité pour notre temps. — Review and Herald, 27 août 1903.LCE 36.1

    A l’école du Christ — En tant qu’étudiants, vous devez toujours être à l’école du Christ, engager votre capital d’énergies physiques et mentales dans votre travail. Dieu n’agrée pas un cœur divisé. Des hommes et des femmes devraient se préparer en vue de devenir colporteurs et ouvriers bibliques et, pour cela, renoncer à toute habitude dégradante, à toute pensée non conforme aux exigences divines afin d’être sanctifiés par la vérité et devenir participants de la nature divine en fuyant la corruption du monde suscitée par la convoitise. Il ne faut rien de moins que la puissance de Dieu pour vous rendre et vous garder tels que vous devez être. Vous ne pouvez offrir à Dieu que le meilleur de vous-mêmes, et ne faire mieux pour améliorer votre rendement que de mettre en pratique ce que vous apprenez. — Review and Herald, 20 mai 1890.LCE 36.2

    Un moyen d’éducation — Des révélations spéciales m’ont été données au sujet de l’œuvre du col- portage ; elles ont fait sur moi une impression profonde à laquelle je ne puis me soustraire. Ce travail est un moyen d’éducation, une excellente école pour ceux qui désirent se préparer en vue d’entrer dans le ministère évangélique. Ceux qui l’entreprennent dans les conditions voulues se mettent à l’école du Christ et suivent son exemple. Des anges ont pour mission d’accompagner ceux qui se consacrent humblement à cette activité. — Manuscript 26. (1901)LCE 36.3

    C’est par le colportage, en allant de maison en maison, que les jeunes peuvent obtenir la meilleure des éducations. En accomplissant ce travail, ils auront l’occasion de diffuser la Parole de vie, de répandre la semence de la vérité. Que les jeunes montrent que l’œuvre du Seigneur leur tient à cœur. Le seul moyen dont ils disposent pour prouver qu’ils sont fermes et ont revêtu toute l’armure de Dieu, c’est de s’acquitter fidèlement de la tâche que Dieu leur a confiée. — Manuscript 57 (1900)LCE 37.1

    Une véritable instruction supérieure — Pour que le travail missionnaire entrepris ne reste pas inachevé, ne décourageons pas nos frères en exigeant d’eux une préparation trop longue. L’instruction est nécessaire, mais souvenez-vous que le Christ est le grand Maître, et qu’il est la source de toute sagesse.LCE 37.2

    Que jeunes et vieux se consacrent à Dieu, se mettent à l’œuvre et travaillent humblement sous la direction du Saint-Esprit. Que ceux qui ont fréquenté l’école aillent dans le champ, et qu’ils mettent en pratique les instructions qu’ils ont reçues. Si les colporteurs agissent ainsi et font valoir les capacités que Dieu leur a données, en recherchant ses conseils et en combinant la vente des livres avec le travail personnel pour le salut des âmes, leurs talents seront augmentés par l’exercice et ils apprendront bien des leçons pratiques que l’école ne pouvait leur enseigner. L’éducation ainsi obtenue peut avec raison être ap-pelée une instruction supérieure. — Tém., vol. II, p. 638. (1900)LCE 37.3

    Une expérience précieuse — Tous ceux qui cherchent une occasion d’exercer un véritable ministère, et qui veulent se donner sans réserve à Dieu, trouveront dans le colportage l’occasion de parler de bien des choses se rapportant à la vie éternelle. L’expérience ainsi acquise sera de la plus grande valeur pour ceux qui se préparent au ministère de la parole. C’est la présence du Saint-Esprit qui prépare hommes et femmes à devenir pasteurs du troupeau de Dieu. S’ils cultivent la pensée que le Christ est leur compagnon, un saint respect, une joie sacrée s’empareront d’eux et, au milieu de leurs expériences pénibles et de leurs épreuves, ils apprendront à prier en travail-lant. Ils recevront des leçons qui les rendront patients, bons, affables et secourables. Ils pratiqueront la véritable politesse chrétienne et se souviendront que le Christ, leur compagnon, ne peut approuver les paroles et les sentiments durs et malveillants. Leurs lèvres seront purifiées. Le don de la parole leur apparaîtra comme un talent précieux donné pour un but saint et élevé. Le collaborateur humain apprendra la manière de représenter le divin Compagnon avec lequel il est associé. Il témoignera à cet Etre saint et invisible beaucoup de respect et de révérence parce qu’il porte son joug et apprend de lui la pureté et la sainteté. Ceux qui mettent leur foi dans le divin Dispensateur feront des progrès. Ils recevront avec puissance le don de revêtir d’une beauté sacrée le message de la vérité. — Tém., vol. II, p. 631, 632. (1900)LCE 38.1

    Une préparation en vue du ministère — Quelques-uns des hommes que Dieu a appelés au ministère sont entrés dans le colportage. J’ai vu que cela constitue pour eux une excellente préparation, pourvu que leur but soit de répandre la lumière et d’apporter les vérités de la Parole de Dieu directement dans le cercle de la famille. Dans la conversation, ils trouveront souvent l’occasion de parler de la religion de la Bible. Si ce travail est fait comme il convient, dans un esprit d’affection chrétienne et d’amour, des familles seront visitées, et il en résultera beaucoup de bien. Tout cela constituera une excellente expérience pour celui qui a en vue le ministère.LCE 39.1

    Ceux qui désirent se former pour le ministère ne trouveront aucun travail qui leur donne une expérience aussi étendue que le colportage. — Tém., vol. II, p. 641, 642. (1900)LCE 39.2

    Il y a plus de difficultés dans cette branche de l’œuvre que dans bien d’autres entreprises commerciales ; mais les leçons que vous apprendrez, le tact et la discipline que vous acquerrez, vous prépareront à d’autres travaux utiles en faveur du salut des âmes. Ceux qui apprennent mal leur leçon, qui se présen- tent d’une manière rude et discourtoise, montreraient le même défaut dans leurs manières, le même manque de tact et de finesse dans leurs relations avec les âmes, s’ils entraient dans le ministère. ...LCE 39.3

    Des jeunes gens peuvent, grâce au colportage évangélique, obtenir une préparation au ministère supérieure à celle qu’ils acquerraient en fréquentant l’école plusieurs années. — Manual for Canvassers, p. 41, 42. (1902)LCE 40.1

    La science suprême — A ceux qui fréquentent l’école pour apprendre à travailler plus efficacement pour Dieu, je voudrais dire : Souvenez-vous que c’est uniquement par une consécration quotidienne à Dieu que vous pourrez devenir des gagneurs d’âmes. Il y a des jeunes gens qui n’ont pu se rendre à l’école parce qu’ils étaient trop pauvres pour payer leur écolage. Mais lorsqu’ils se sont donnés au Seigneur, ils ont travaillé pour lui là où ils étaient, au salut de ceux qui les entouraient. Bien que privés des connaissances qu’ils auraient pu acquérir à l’école, ils se consacrèrent à Dieu et, par eux, Dieu accomplit son œuvre. Comme aux disciples, lorsqu’ils furent appelés à abandonner leurs filets pour suivre le Christ, le Sauveur leur enseigna de précieuses leçons. Ils s’attachèrent au Maître et les connaissances qu’ils acquirent par l’étude des Ecritures les qualifièrent pour parler du Christ à leurs semblables. Ils connurent ainsi la véritable sagesse parce qu’ils ne s’estimèrent pas trop sages à leurs propres yeux pour recevoir les enseignements d’en haut. La puissance sans cesse re- nouvelée du Saint-Esprit leur donnait une énergie pratique et salutaire.LCE 40.2

    Les connaissances de l’homme le plus instruit, s’il n’a pas été à l’école du Christ, ne sont que folie en ce qui concerne le salut des âmes. Dieu ne se sert que de ceux qui acceptent l’invitation : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. » Mat. 11 : 28-30. — Tém., vol. II, p. 626, 627. (1900)LCE 41.1

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