Loading...
Larger font
Smaller font
Copy
Print
Contents

Messages choisis, vol. 2

 - Contents
  • Results
  • Related
  • Featured
No results found for: "".
  • Weighted Relevancy
  • Content Sequence
  • Relevancy
  • Earliest First
  • Latest First
    Larger font
    Smaller font
    Copy
    Print
    Contents

    Faites ce qui vous est demande et acceptez le salaire qui vous est offert

    Il est exigé de chaque homme qu'il accomplisse l'œuvre que Dieu lui a assignée. Nous devrions être disposés à rendre de petits services, faisant ce qui se présente, et qui doit être fait par quelqu'un, mettant à profit les moindres occasions. Même si nous n'avions pas d'autres occasions, il faudrait continuer à travailler fidèlement. Celui qui perd des heures, des jours et des semaines, parce qu'il ne veut pas faire ce qui lui est demandé, aura des comptes à rendre à Dieu pour le temps gaspillé. S'il pense pouvoir ne rien faire parce qu'il n'a pas obtenu le salaire désiré, qu'il commence à réfléchir: ce jour appartient au Seigneur, dont il est le serviteur. Il n'a pas le droit de perdre son temps. Qu'il se dise: “Je vais employer ce temps à faire quelque chose et je donnerai tous mes profits à la cause de Dieu. Je ne veux pas être un fainéant.”MC2 206.1

    Quand un homme aime Dieu par-dessus tout, et son prochain comme soi-même, il ne cherchera pas à savoir quel avantage il retirera de son travail. Il fera ce qui lui est demandé et acceptera le salaire qui lui est offert. Il ne donnera pas un mauvais exemple en refusant la tâche proposée parce qu'il n'obtient pas le salaire auquel il pense avoir droit.MC2 206.2

    Le Seigneur juge le caractère d'un homme d'après les principes qui gouvernent ses rapports avec ses semblables. Si dans les affaires ordinaires cet homme obéit à des principes défectueux, il agira de même dans le service spirituel qu'il rend à Dieu. Les mêmes fils sont tissés dans toute sa vie religieuse. Si vous pensez qu'il est au-dessous de votre dignité de travailler pour votre propre profit avec un petit salaire, travaillez donc pour le Maître. Faites une offrande pour témoigner votre gratitude au Dieu qui a épargné votre vie. A aucun prix ne restez oisif. — Manuscrit 156, 1897.MC2 206.3

    Larger font
    Smaller font
    Copy
    Print
    Contents