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Principes de Foi Chrétienne

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    Dieu demande le dixième des acquisitions qu'il nous a permis de faire

    Le système de la dîme va bien au-delà de l'époque de Moïse. Les hommes furent appelés à offrir des dons à Dieu pour des raisons religieuses avant qu'un système précis ait été donné à Moïse. Cela remonte aux jours mêmes d'Adam. En se soumettant aux attentes de Dieu, ils manifestaient par leurs offrandes leur appréciation pour ses grâces et ses bénédictions. Cela s'est poursuivi au cours des générations successives, et fut appliqué par Abraham, qui remit la dîme à Melchisédech, le prêtre du Dieu très haut. Les mêmes principes existaient à l'époque de Job. Jacob, à Béthel, voyageur exilé sans le sou, se coucha solitaire un soir, avec une pierre pour oreiller, et promit au Seigneur: “Sur tout ce que tu me donneras, je te paierai la dîme.” Genèse 28:22. Dieu ne contraint pas les hommes à donner. Tout ce qu'ils donnent doit être volontaire. Il ne veut pas que ses trésors soient remplis d'offrandes obligées.PFC 218.2

    En ce qui concerne le montant, Dieu a spécifié un dixième des acquisitions. C'est laissé à la conscience et à la générosité des hommes, dont le jugement sur ce système de la dîme devrait jouer librement. Et, bien que la conscience soit laissée libre, un plan a été établi pour tous. Aucune contrainte n'est requise. Dieu a appelé les hommes du temps des lois mosaïques à donner la dîme de leurs revenus. Il a confié à leur administration les choses de cette vie, des talents à développer et à lui rendre. Il a demandé un dixième comme la moindre des choses que l'homme puisse lui retourner. Il déclare: Je t'ai donné les neuf dixièmes, alors que je n'en demande qu'un; il m'appartient. Quand les hommes retiennent le dixième, ils volent Dieu. Il était aussi demandé des offrandes pour le péché, des offrandes de paix et des offrandes de reconnaissance en plus de la dîme des revenus.PFC 218.3

    Tout ce qui est retenu de ce que Dieu demande (la dîme des revenus) est enregistré dans les livres du ciel en tant que vol, à charge de ceux qui retiennent. De telles personnes lèsent leur Créateur; et quand elles prennent conscience de leur péché de négligence, il ne suffit pas qu'elles commencent à changer leur conduite et à agir selon de justes principes. Cela ne modifiera pas le contenu des registres du ciel. Elles ont détourné les biens qui leur ont été confiés pour être rendus à celui qui les leur a prêtés. Il faut qu'ils se repentent de leur infidélité d'avoir manqué de gratitude envers Dieu.PFC 219.1

    Chaque fois que le peuple de Dieu, en tous temps, a joyeusement et volontairement mis en œuvre les plans de Dieu et s'est soumis à ses exigences pour l'honorer de ses biens, ses greniers ont été remplis. Mais quand il a volé Dieu dans les dîmes et les offrandes, il a été conduit à réaliser qu'il n'a pas seulement volé Dieu, mais qu'il s'est volé lui-même, car Dieu lui a limité ses bénédictions proportionnellement à son infidélité.PFC 219.2

    Celui qui connaît l'infortune et se met dans les dettes, ne devrait pas employer la part de Dieu pour effacer sa dette. Il doit considérer qu'il est mis à l'épreuve, et qu'en gardant la part de Dieu il vole le Donateur. Il est débiteur de Dieu pour tout ce qu'il possède, mais il devient doublement débiteur quand il emploie les fonds de réserve de Dieu pour payer ses dettes. En face de son nom, il est écrit dans les livres du ciel: “infidèle à Dieu”. Il a un compte à rendre à Dieu pour s'être approprié les biens de Dieu pour son avantage. Et le manque de principes manifesté dans l'appropriation des biens de Dieu se manifestera dans la gestion d'autres choses. Cela se verra dans tous les sujets en rapport avec ses propres affaires. Celui qui vole Dieu cultive des traits de caractère qui le coupent de tout accès à la famille de Dieu.PFC 219.3

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