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Tempérance

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    Chapitre 2 — Un problème économique

    Le trafic de l'alcool engendre malhonnêteté et violence — A chaque échelon du commerce de l'alcool, on trouve la malhonnêteté et la violence. Les débits de boissons doivent leur existence à l'injustice et leur prospérité à la violence et à l'oppression. — The Review and Herald, 1 mai 1894.Te 21.4

    Des millions dépensés pour acheter la misère et la mort — “Malheur à celui qui bâtit sa maison par l'injustice et ses chambres par l'iniquité. ...Te 21.5

    ”Qui dit: Je me bâtirai une maison vaste, et des chambres spacieuses; et qui s'y fait percer des fenêtres, la lambrisse de cèdre et la peint en couleur rouge!Te 21.6

    ”Est-ce que tu règnes, parce que tu as de la passion pour le cèdre?Te 21.7

    ”Mais tu n'as des yeux et un cœur que pour te livrer à la cupidité, pour répandre le sang innocent, et pour exercer l'oppression et la violence.”Te 22.1

    C'est en ces termes que l'Ecriture parle des fabricants de boissons alcoolisées et de ceux qui en assurent la vente. Leur travail est un vol, car en échange de l'argent qu'ils reçoivent, ils ne donnent aucun équivalent véritable. Chaque pièce d'argent qui tombe dans leur bourse accroît le malheur de celui qui l'a dépensée.Te 22.2

    Chaque année, des millions et des millions de litres de boissons alcoolisées sont consommés. Des millions et des millions de francs sont dépensés pour procurer la misère, la pauvreté, la maladie, la déchéance, la débauche, le crime et la mort. Par amour de l'argent, le débitant de boissons vend à ses victimes un breuvage qui corrompt et détruit le corps et l'âme. Il attire pauvreté et misère sur la famille du buveur. — Drunkenness and Crime, 7, 8.Te 22.3

    Contraste dans les conditions sociales — Le buveur aurait été capable de faire beaucoup mieux. Dieu lui a donné des talents qu'il aurait pu employer à sa gloire; mais ses semblables lui ont tendu un piège et se sont enrichis à ses dépens. Ils ont vécu dans l'abondance, alors que leurs malheureux frères qu'ils avaient dépouillés vivaient dans la misère et le vice. Mais Dieu demandera des comptes détaillés à celui qui a entraîné un buveur sur la pente fatale. — Manuscrit 90, 1894.Te 22.4

    Les législateurs et les débitants de boissons seront tenus pour responsables — Les législateurs et les débitants de boissons peuvent se laver les mains comme Pilate. Ils ne se disculperont pas alors que, par leur faute, des hommes sont devenus des ivrognes. Ils seront considérés comme responsables des millions de francs dépensés, pour leur malheur, par les consommateurs d'alcool. Personne ne peut fermer les yeux sur les terribles conséquences qu'entraîne le trafic des boissons alcoolisées. Les journaux établissent clairement que la misère, la pauvreté et le crime qui sont les conséquences de ce trafic ne sont pas des fables habilement conçues; ils montrent que des centaines de personnes s'enrichissent aux dépens des maigres revenus de ceux qu'un odieux commerce précipite vers la ruine. Oh! n'arriverons-nous pas à susciter dans l'opinion publique le désir de mettre fin au commerce de l'alcool, de fermer les cafés et de donner aux insensés l'occasion de penser aux réalités éternelles? — The Review and Herald, 29 mai 1894.Te 22.5

    On aurait pu ouvrir des écoles — Pensez à tout l'argent dépensé dans les cafés où les hommes vendent leur raison pour acquérir ce qui les place sous le contrôle de Satan. Quel changement se produirait dans la société si cet argent était employé à ouvrir des écoles permettant aux enfants de recevoir une éducation d'inspiration biblique, où ils apprendraient à venir en aide à leur prochain et à sauver ceux qui sont perdus!Te 22.6

    Il y a une œuvre à accomplir dans chaque classe de la société. ... N'oublions pas les ministres, les législateurs, les sénateurs, les juges parmi lesquels nombreux sont ceux qui font un grand usage de spiritueux et de tabac. ... Demandez-leur l'argent qu'ils dépenseraient en alcool et en tabac qui leur font du mal; dites-leur de le donner pour aider à ouvrir des écoles où les enfants et les jeunes recevront une éducation qui leur permettra d'occuper des postes importants dans la société. — Lettre 25, 1902.Te 23.1

    Une solution à la faim dans le monde — Les cris des millions de personnes qui dans notre monde meurent de faim pourraient être rapidement apaisés si l'argent que les débitants de boissons font entrer dans leur caisse était employé à soulager les souffrances de l'humanité. Mais le mal augmente sans cesse. On apprend à la jeunesse à aimer cette abominable boisson qui détruit le corps et l'âme. Les jeunes refusent la tâche qu'ils pourraient accomplir dans la vigne du Seigneur. — Manuscrit 139, 1899.Te 23.2

    Des stations missionnaires auraient pu être ouvertes — Pensez aux millions de francs dépensés en boissons alcoolisées qui feront de l'homme une brute et détruiront ses facultés mentales. Tout cet argent pourrait faire un bien immense s'il était consacré au soutien des missions dans les pays sous-développés. Les hommes dérobent à Dieu ce qui lui revient de droit. — Manuscrit 38, 1905.Te 23.3

    Les publications auraient pu se multiplier — Quand nous obéirons aux exhortations de l'apôtre: “Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, ... faites tout pour la gloire de Dieu”, des millions de francs, gaspillés encore pour des plaisirs coupables, afflueront vers le trésor du Seigneur; des publications en diverses langues seront produites en grand nombre et dispersées comme les feuilles en automne. Des stations missionnaires pourront être établies dans divers pays et les disciples du Christ seront alors vraiment la lumière du monde. — The Signs of the Times, 13 août 1874.Te 23.4

    Les jours fériés favorisent une augmentation de l'intempérance — L'ivresse, les révoltes, la violence, le crime, le meurtre se produisent parce que l'homme vend sa raison. Les nombreux jours fériés contribuent à l'accroissement des maux de l'intempérance et sont nuisibles à la moralité et à la religion. A l'occasion de ces jours chômés, les hommes dépensent en alcool l'argent qui leur serait nécessaire pour subvenir aux besoins de leur famille. Les débitants de boissons font alors des affaires.Te 23.5

    Quand l'homme boit, il perd la raison. C'est l'heure de la puissance des ténèbres où le crime devient possible, où l'être humain se trouve sous la puissance d'une force diabolique, et où l'âme et le corps sont esclaves des passions. Qui peut s'opposer à cette passion? Qui peut la retenir? Ces personnes n'ont pas de force de caractère. Les jours fériés les entraînent vers la tentation; nombreux sont ceux qui pensent pouvoir se permettre, ces jours-là, de faire tout ce qu'ils veulent. — Manuscrit 17, 1898.Te 24.1

    Des milliers de francs pour le trésor du diable — Que ceux qui boivent du vin, de la bière ou des spiritueux calculent combien d'argent ils dépensent en boisson. Combien de millions de francs sont allés remplir les trésors du diable pour perpétuer la méchanceté et entretenir la dissolution, la corruption et le crime. — Manuscrit 20, 1894.Te 24.2

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