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Le Ministère de la bienfaisance

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    Chapitre 35—Renforcer l’œuvre de la bienfaisance

    Soyez des économes de Dieu — Dieu a confié des biens aux hommes pour qu’ils puissent apprendre à être miséricordieux, donner généreusement pour soulager les souffrances de ses créatures déchues. “Signs of the Times”, 20 juin 1892.MB 203.1

    Avoir des cœurs tendres et compatissants — Dieu désire que les actes de générosité et de bienveillance rendent les cœurs des enfants des hommes tendres et compatissants, et les incitent à manifester de l’intérêt et de l’affection pour autrui, selon l’exemple du Maître qui, par amour pour nous, se’ fit pauvre, afin que nous fussions enrichis. — “Testimonies”, vol. III, p. 547.MB 203.2

    Les cours d’eau de la bienfaisance ne doivent pas être taris — Les petits cours d’eau de la bienfaisance ne doivent pas cesser de se déverser dans le trésor. La providence de Dieu nous précède et dépasse de beaucoup nos libéralités. - ,Manuscrit” 26, 1891.MB 203.3

    Un flot constant de dons — L’argent que Dieu a confié aux hommes doit être employé pour faire du bien à l’humanité, pour soulager la souffrance et la misère. Les hommes croient souvent qu’ils ont accompli des merveilles lorsqu’ils ont fait à certaines institutions ou églises des dons généreux. Dans sa sage providence, Dieu leur présente continuellement ceux qui ont besoin de leur aide. Il faut soigner ceux qui souffrent, vêtir ceux qui sont nus, et en soulager beaucoup d’autres qui passent par des circonstances difficiles et luttent en faisant appel à .’toutes leurs énergies pour préserver leur famille de la pauvreté. — “Review and Herald”, 4 janvier 1898.MB 203.4

    Nous demandons pour les autres — Quand nous disons : « Donne-nous notre pain quotidien ”, nous prions aussi bien pour nos semblables que pour nous-mêmes. Et nous reconnaissons que les biens reçus de Dieu ne sont pas exclusivement pour nous. Dieu nous prête, afin que nous puissions venir en aide à ceux qui ont faim. Dans sa bonté, il a pourvu au soulagement des pauvres. Et il dit : « Lorsque tu donnes à dîner ou à souper, n’invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni des voisins riches. ... Mais, lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles. Et tu seras heureux de ce qu’ils ne peuvent pas te rendre la pareille ; car elle te sera rendue à la résurrection des justes. » - “Jésus et le bonheur”, p. 118, 119.MB 203.5

    L’estampille de Dieu sur chaque dollar — Quel que soit le nombre de vos talents, que vous en ayez un, deux, ou cinq, vous ne devez pas dépenser un centime pour favoriser la vanité, l’orgueil, ou l’égoïsme. Chaque dollar en votre possession porte l’estampille de Dieu, Aussi longtemps qu’il y aura dans le monde des affamés à nourrir, des pauvres qui sont nus à vêtir, des âmes qui périssent faute du pain de vie et des eaux du salut, tout ce qui ne vous est pas nécessaire, tout surplus de votre avoir doit être consacré aux pauvres. — “Signs of the Times”, 20 juin 1892.MB 204.1

    Les cours d’eau de la bienfaisance taris — Plus les personnes dépenseront en vêtements, moins elles auront d’argent pour nourrir l’affamé ou vêtir celui qui est nu ; et les moyens nécessaires à la bienfaisance, qui devraient constamment se renouveler, seront taris. Chaque franc économisé en refusant de se procurer des ornements inutiles peut servir aux nécessiteux, ou être placé dans le trésor du Seigneur pour la proclamation de l’Evangile, pour envoyer des missionnaires en pays lointain, pour multiplier les imprimés, afin de faire connaître la lumière aux âmes qui sont dans les ténèbres de l’erreur. Chaque franc dépensé inutilement prive celui qui le fait d’une occasion précieuse d’accomplir le bien. — “Testimonies”, vol. IV, p. 645, 646.MB 204.2

    Dieu nous appelle au renoncement — Dieu demande aux jeunes de renoncer aux ornements inutiles, ou à certains articles de vêtements, même s’ils ne coûtent pas cher, et de mettre de côté cet argent pour des œuvres de charité. Il réclame aussi de ceux qui sont plus avancés en âge de réfléchir quand ils envisagent l’achat d’une montre ou d’une chaîne en or, ou encore de quelques meubles coûteux, et de se poser la question : Est-ce bien de dépenser une telle somme pour des choses dont nous pourrions nous passer, ou quand un article moins cher nous suffirait ? En renonçant à vous-même, et en élevant la croix du Christ, qui par amour pour vous s’est fait pauvre, vous pourrez faire beaucoup pour soulager les souffrances des pauvres qui sont parmi vous, et, en imitant ainsi l’exemple de notre Seigneur et Maître, vous recevrez son approbation et sa bénédiction. — “Id.”, p. 511.MB 204.3

    Ce n’est pas peu de chose que d’être un économe du Seigneur. — Que diraient ceux qui font de grandes dépenses pour meubler leurs mai- sons, s’ils pouvaient lire cette inscription sur leurs meubles et leurs tableaux : « Fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile. » Dans la salle à manger où se trouve une table bien garnie, le doigt de Dieu a tracé ces mots : « Partage ton pain avec celui qui a faim » !MB 204.4

    Que tous, jeunes et vieux, considèrent que ce n’est pas peu de chose d’être les économes du Seigneur, et d’être accusés dans les livres du ciel d’avoir agi d’une manière égoïste. Les nécessiteux, les opprimés sont laissés dans la pauvreté, alors que l’argent du Seigneur est égoïstement dépensé en choses luxueuses ou extravagantes. Oh ! puissions-nous nous souvenir que Dieu ne fait acception de personne ! C’est une grande chose que d’être des économes fidèles et véritables devant un Dieu juste et impartial, qui n’excuse aucune infidélité. — “Manuscrit” 11, 1892.MB 205.1

    Une merveilleuse réforme promise — Lorsque la grâce du Christ est exprimée dans les paroles et dans les actes des croyants, la lumière resplendit pour ceux qui sont dans les ténèbres ; car, tandis que les lèvres louent le Seigneur, la main est occupée à faire du bien à ceux qui périssent. Nous lisons dans les Ecritures qu’au jour de la Pentecôte, quand le Saint-Esprit descendit sur les disciples réunis, aucun chrétien ne disait que ce qu’il avait lui appartenait en propre. Tout ce qu’il possédait était destiné à faire progresser l’œuvre de Dieu, et des milliers d’âmes se convertissaient en un jour. Lorsque le même Esprit agira sur les croyants de notre époque et qu’ils donneront avec la même libéralité, une grande œuvre s’accomplira. - “Manuscrit” 95, 1907.MB 205.2

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