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Le Ministère de la bienfaisance

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    Chapitre 21—Le pauvre dans l’Eglise.

    Subvenir aux besoins de nos frères en la foi — Nous devons exprimer notre amour pour Dieu en venant en aide aux nécessiteux et à ceux qui souffrent, à ces frères dont nous apprenons le dénuement et qui réclament nos soins. Toute âme est tenue, devant Dieu, d’avoir pour les indigents qui en sont dignes une compassion particulière. On ne doit les négliger sous aucun prétexte. — “Témoignages”, vol. 11, p. 592MB 135.1

    « Ainsi donc, pendant que nous en avons l’occasion, pratiquons le bien envers tous, et surtout envers les frères en la foi. »MB 135.2

    Le Christ a chargé son Eglise de prendre un soin tout particulier de ses membres nécessiteux. Il permet qu’il y ait des pauvres dans chaque communauté - n’a-t-il pas dit qu’il y en aurait toujours ? - mais il tient les chrétiens pour responsables de la sollicitude dont il y a lieu de les entourer.MB 135.3

    De même que les membres d’une famille digne de ce nom s’entraident les uns les autres, entourant de leurs conseils les inexpérimentés, ainsi les « frères en la foi » doivent prendre soin de ceux des leurs qui sont dans le besoin. Aucune considération ne saurait les en dispenser. “Rayons de santé”, p. 163, 164.MB 135.4

    Deux classes dont on doit s’occuper — Il y a deux catégories de pauvres que nous aurons toujours parmi nous : ceux qui se ruinent en faisant leur propre volonté, qui persévèrent dans leur égarement, et ceux qui, pour l’amour de la vérité, ont été amenés à vivre dans des circonstances difficiles. Nous devons aimer notre prochain comme nous-mêmes, et dans notre attitude envers ces deux catégories de personnes, nous ferons bien de nous laisser guider par une saine sagesse.MB 135.5

    En ce qui concerne ceux qui sont pauvres à cause de leur foi, aucune question ne se pose. Chaque fois que ce sera nécessaire, il faudra leur venir en aide. Dieu veut que son peuple révèle à un monde pécheur qu’il ne l’a pas laissé périr. Des sacrifices particuliers doivent être consentis en faveur de ceux qui, à cause de leur attachement à la vérité, sont chassés de leur foyer et exposés à la souffrance. De plus en plus, il faudra de grands cœurs, ouverts, généreux, des cœurs qui bannissent l’égoïsme et s’occupent de ceux que le Seigneur aime. Les pauvres qui se trouvent parmi nous ne doivent pas être laissés sans secours. Il faut, d’une manière quelconque, leur procurer un moyen d’existence. Quelques-uns devront apprendre à travailler. Une assistance particulière est nécessaire à ceux qui font un travail pénible, au-dessus de leurs forces, pour subvenir aux besoins des leurs. Nous devrions nous intéresser à de tels cas en aidant ces familles à s’assurer un emploi. Un fonds devrait être créé pour venir en aide à ces foyers nécessiteux, dignes d’intérêt, aimant le Seigneur et obéissant à ses commandements.MB 135.6

    On devra prendre garde que l’argent réuni à cet effet ne soit pas détourné pour d’autres fins. Il y a une grande différence entre venir en aide aux pauvres qui, en observant les commandements de Dieu, manquent du nécessaire et en souffrent, et négliger ceux-ci pour secourir des blasphémateurs qui foulent aux pieds les commandements de Dieu. Le Seigneur a égard à cette différence. Les observateurs du sabbat ne devraient pas négliger ceux qui souffrent pour la vérité et qui sont dans le besoin pour s’occuper de ceux qui persistent à transgresser la loi divine et qui se sont accoutumés à recevoir du secours des autres. Ce n’est pas là un bon travail missionnaire ; il n’est pas en harmonie avec le plan de Dieu.MB 136.1

    Partout où se trouve une église, nos membres sont tenus de faire une œuvre fidèle en faveur des croyants qui sont dans le besoin. Mais ils ne doivent pas s’arrêter là. Il faut qu’ils aident également les autres, quelle que soit leur appartenance religieuse. Comme résultat d’un tel travail, quelques-uns accepteront les vérités relatives à notre époque.MB 136.2

    « S’il y a chez toi quelque indigent d’entre tes frères, dans l’une de tes portes, au pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne, tu n’endurciras pas ton cœur et tu ne fermeras point ta main devant ton frère indigent. Mais tu lui ouvriras la main, et tu lui prêteras de quoi pourvoir à ses besoins. Garde-toi d’être assez méchant pour dire en ton cœur : La septième année, l’année de relâche, approche ! Garde-toi d’avoir un œil sans pitié pour ton frère indigent et de lui faire un refus. Il crierait à l’Eternel contre toi, et tu te chargerais d’un péché. Donne-lui, et que ton cœur ne lui donne point à regret ; car, à cause de cela, l’Eternel, ton Dieu, te bénira dans tous tes travaux et dans toutes tes entreprises. Il y aura toujours des indigents dans le pays ; c’est pourquoi je te donne ce commandement : Tu ouvriras ta main à ton frère, au pauvre et à l’indigent dans ton pays. » De.15:11.MB 136.3

    Par suite de certaines circonstances, il en est qui deviennent pauvres tout en aimant Dieu et en lui obéissant. D’aucuns ne sont pas prudents et ne savent pas diriger leurs affaires. D’autres s’appauvrissent par la maladie et par des revers de fortune. Ils sont dans le besoin et, quelles qu’en soient les causes, les aider est une partie importante du travail missionnaire. — “Témoignages”, vol. II, p. 590-592.MB 136.4

    La pauvreté peut résulter de circonstances adverses — Ce n’est pas toujours à cause de son incapacité qu’un frère, par suite de circonstances adverses, a dû contracter des dettes, ou souffrir de manque de nourriture ou de vêtements, même en ne les remboursant pas, bien que faisant l’impossible pour cela. Ce frère a besoin d’une main secourable pour le remettre sur pied, afin qu’il puisse travailler dans la vigne du Seigneur, sans être inquiété par le souci de ses dettes. — “Manuscrit” 34, 1894.MB 137.1

    La responsabilité de l’église ou des églises — Chaque église a le devoir de faire des arrangements judicieux pour le soin de ses pauvres et de ses malades. — “Lettre” 169, 1901.MB 137.2

    Dieu permet qu’il se trouve des pauvres dans chaque église. Il v en aura toujours parmi nous et le Seigneur place sur chaque membre la responsabilité d’en prendre soin. Nous ne devons pas passer cette responsabilité à d’autres. Envers ceux qui sont au milieu de nous, nous devons manifester le même amour, la même sympathie que le Christ leur témoignerait s’il était à notre place. Nous devons ainsi être disciplinés, afin de pouvoir travailler selon l’exemple du Christ.MB 137.3

    Le prédicateur devrait enseigner chaque famille, et encourager son église à prendre soin de ses pauvres et de ses malades. Il devrait mettre ,en valeur les talents qu’elles ont reçus de Dieu. Si une église a une charge trop lourde dans ce domaine, que d’autres viennent à son secours. Que nos membres d’église fassent preuve de tact et de délicatesse, en prenant soin de ces personnes, qui font partie du peuple de Dieu. Qu’ils renoncent au luxe, aux ornements inutiles, afin que ceux qui souffrent de la misère soient secourus. En agissant ainsi, ils suivent les instructions données au chapitre 58 d’Esaïe et la béatitude renfermée dans ce passage sera la leur. — “Témoignages”, vol. 11, p. 594.MB 137.4

    Chaque membre d’église doit faire sa part — Le peuple de Dieu doit être inflexible comme l’acier dans ses principes. Le Seigneur a assigné à tous les membres d’église l’œuvre qui leur incombe. Il faut qu’ils accomplissent leur devoir à l’égard de ceux qui font partie du bercail, qu’ils traitent généreusement leurs propres pauvres, fassent un travail missionnaire systématique, et enseignent à leurs enfants la voie du Seigneur, le jugement et la justice.MB 137.5

    Mais la lumière qu’a reçue l’Eglise depuis des années n’a pas été appréciée. L’œuvre qui aurait dû être faite pour l’humanité souffrante dans chaque église a été négligée. Les membres d’église n’ont pas écouté la parole du Seigneur, ce qui les a privés de faire une expérience bénie dans l’œuvre évangélique. — “Review and Herald”, 4 mars 1902.MB 137.6

    Les pauvres et les nécessiteux doivent être secourus. Il ne faut pas les négliger quel qu’en soit le prix ou le sacrifice. — “Youth’s Instructor”, 26 août 1897.MB 138.1

    L’Eglise doit porter le fardeau — Les églises qui ont des pauvres parmi elles ne doivent pas s’en désintéresser et compter pour les secourir sur nos établissements sanitaires. Tous les membres sont responsables devant Dieu de leurs déshérités. Qu’ils portent leurs propres fardeaux. S’il y a parmi eux des personnes malades, qui ont besoin de traitements, ils doivent, s’ils le peuvent, les envoyer dans un établissement. En agissant ainsi, non seulement ils donneront du travail à une institution que Dieu a établie, mais ils viendront en aide à ceux qui sont dans le besoin comme Dieu nous le demande. — “Testimonies”, vol. IV, p. 551,MB 138.2

    Quand les pauvres du Seigneur sont négligés — Lorsque les pauvres du Seigneur sont laissés de côté et oubliés, ou traités avec mépris, que les coupables sachent qu’ils négligent le Christ dans la personne de ses saints. Notre Sauveur identifie ses intérêts avec ceux de l’humanité souffrante. De même que les parents se penchent avec pitié et avec tendresse sur l’agneau de leur troupeau qui souffre, de même le cœur de notre Rédempteur sympathise avec les plus pauvres et les plus humbles de ses enfants. Il les a placés parmi nous pour éveiller dans nos cœurs cet amour pour celui qui souffre ou qui est opprimé. Ses jugements s’abattront impitoyablement sur tous ceux qui les traitent à la légère ou en abusent. — “Ibid”.MB 138.3

    Cherchons à connaître ceux qui sont dans le besoin — Nous apprécions vos bonnes intentions, mais elles ne sauraient suffire à nourrir et à vêtir les pauvres. Il faut à ceux-ci des preuves matérielles de votre bonté, soit en vivres, soit en vêtements. Dieu ne désire nullement que ses enfants mendient leur pain. Il vous a donné abondamment afin que vous puissiez venir en aide à ceux qui sont dans le besoin, malgré leur travail et leurs économies. N’attendez pas qu’ils attirent votre attention sur ce qui leur manque. Imitez Job qui cherchait à savoir ce qui lui était inconnu. Informez-vous, apprenez à connaître les besoins de ceux qui vous entourent et comment y suppléer. — “Témoignages”, vol. p. 45.MB 138.4

    N’attendons pas qu’ils viennent à nous — Nous apprendrons que des familles sont dans la pauvreté et la détresse et nous devrons soulager ces affligés et ces malheureux. ... N’attendez pas que ceux-ci viennent à vous. Rendez-vous compte de ce qui leur manque, et aidez-les si c’est nécessaire, Vous devez donner de l’argent pour venir en aide à des jeunes gens et à des jeunes filles, afin qu’ils reçoivent une éducation qui les qualifiera pour porter l’Evangile aux pauvres, aider ceux qui se sont placés dans une situation difficile en prenant position pour la vérité. Lorsque des cas spéciaux se présentent, le pasteur doit être prêt à soulager ceux qui sont dans la pauvreté pour l’amour de la vérité. “Manuscrit” 25, 1894.MB 138.5

    Venons en aide aux nouveaux convertis qui perdent leurs situations — Dans notre œuvre de bienfaisance, une aide spéciale doit être accordée à ceux qui sont convaincus de la vérité et se sont convertis. Nous devons nous occuper de ceux qui ont eu le courage moral d’accepter la vérité, qui ont de ce fait perdu leur situation, et à qui on refuse du travail pour subvenir aux besoins de leur famille. Aidons les pauvres qui sont dignes et trouvons un emploi à ceux qui aiment Dieu et gardent ses commandements. Ils ne doivent pas rester sans secours, croire qu’ils sont obligés de travailler le jour du sabbat ou mourir de faim. Ceux qui prennent position pour le Seigneur doivent trouver chez les Adventistes du Septième jour une chaude atmosphère, un peuple prêt au sacrifice, qui, courageusement et joyeusement, assiste les frères dans le besoin. C’est de ceux-là spécialement que parle le Seigneur quand il dit : « Fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile. » Es.58:7. — “Testimonies”, vol. VI, p. 85.MB 139.1

    Procurons du travail aux familles pauvres — Sur l’emplacement de l’école en Australie, on doit créer des vergers et des jardins, afin que les élèves puissent faire de l’exercice physique combiné avec le travail mental, et payer ainsi la moitié et même, pour certains, la totalité de leur écolage. Du terrain doit aussi être acheté pour que des familles qui ne peuvent trouver du travail dans les villes à cause du sabbat puissent gagner leur vie en le cultivant. C’est une absolue nécessité pour ce pays. Des instructions doivent être données concernant la culture du sol. Nous devons nous attendre que le Seigneur bénira cet effort. “Manuscrit” 23, 1894.MB 139.2

    Notre devoir envers les familles pauvres — On nous a souvent posé des questions au sujet de nos devoirs envers les pauvres qui entrent dans l’Eglise. Nous-mêmes avons été longtemps perplexes, ignorant comment agir avec discrétion dans ce cas. Mais tandis que nous étions à Roosevelt (N.Y.), le 3 août 1861, j’ai eu une vision à ce sujet.MB 139.3

    Dieu n’exige pas que nos frères prennent en charge chaque famille pauvre qui adhère au message du troisième ange. Si c’était le cas, il faudrait cesser d’évangéliser de nouveaux territoires, car les caisses seraient vidées par les secours accordés aux nécessiteux. Beaucoup d’entre eux sont dans la pauvreté parce qu’ils ne savent pas employer convenablement leur argent. Leur venir en aide serait en réalité leur nuire. Certains seront toujours pauvres. Leur procurer tous les avantages ne leur servirait de rien. Ils ne savent pas calculer et dépenseraient vite tout ce qui serait en leur possession, que ce soit beaucoup ou peu.MB 139.4

    Certaines personnes ignorent ce que veut dire renoncer à elles-mêmes et économiser afin de se préserver des dettes et d’avoir un peu d’argent de côté en cas de besoin. Si l’Eglise aidait de telles personnes au lieu de les. laisser se tirer d’affaire par elles-mêmes, cela leur serait finalement nuisible. Ces personnes s’attendraient à être aidées et ne pratiqueraient pas le renoncement et l’économie lorsque leur situation financière le permettrait. Si elles ne recevaient pas de secours chaque fois qu’elles en auraient besoin, Satan les tenterait et les amènerait à être jalouses et à reprocher à leurs frères de ne pas faire leur devoir envers elles. En réalité, les torts seraient de leur seul côté. Ces personnes ne font pas partie des pauvres du Seigneur.MB 140.1

    Les instructions que nous donne la Parole de Dieu à ce sujet ne comprennent pas ces cas-là, mais les malheureux et les affligés. Dieu, dans sa providence, a éprouvé certaines personnes pour qu’elles servent elles-mêmes d’épreuve aux autres. Les veuves et les infirmes sont dans l’Eglise afin d’être une source de bénédiction pour elle. Ils sont un des moyens que Dieu a choisis pour développer le caractère de ceux qui se prétendent les disciples de Jésus-Christ et leur donner une occasion de manifester les traits de celui de notre Rédempteur compatissant.MB 140.2

    Bien des gens qui ont de la peine à vivre célibataires, se décident à se marier et à élever une famille, alors qu’ils savent fort bien qu’ils sont incapables de l’entretenir. Ce qui est pis encore, c’est qu’ils ne savent pas diriger une famille. Tout leur comportement se ressent de leurs habitudes de négligence et de mollesse. Ils ont peu de contrôle sur eux-mêmes et sont emportés, impatients et irritables. Quand de telles personnes deviennent adventistes, elles pensent qu’elles ont droit à l’assistance de leurs frères plus fortunés. Si l’on ne va pas au-devant de leurs désirs, elles se plaignent de l’Eglise et l’accusent de ne pas vivre sa foi. Mais qui doit souffrir en pareil cas ? L’œuvre de Dieu doit-elle être sapée à la base et les caisses vidées pour subvenir à l’entretien de ces familles nombreuses ? Assurément non. Ce sont les parents qui doivent en supporter les conséquences. D’une façon générale, ils ne seront pas plus gênés qu’ils ne l’étaient avant d’observer le sabbat.MB 140.3

    Il y a dans le cœur de certains de nos pauvres un mal qui les perdra, s’ils n’arrivent pas à en triompher. Ils ont accepté la vérité en gardant leurs habitudes grossières, rudes et incultes. Il leur faut un certain temps pour s’en apercevoir et se rendre compte que cela ne s’accorde pas avec le caractère du Christ. Ils considèrent ceux qui sont plus rangés et cultivés comme des gens fiers et on peut les entendre dire : « La vérité nous abaisse tous au même niveau. » Mais c’est une erreur complète de penser que la vérité abaisse celui qui l’accepte. Au contraire, elle l’élève, affine les goûts, sanctifie le jugement et, si elle est vécue, le prépare à vivre avec les saints anges dans la cité de Dieu. La vérité est destinée à nous amener tous à un niveau élevé.MB 140.4

    Ceux qui ont le plus de sagesse devraient toujours se comporter noblement et généreusement avec leurs frères plus pauvres, leur donner de bons conseils et les laisser ensuite livrer eux-mêmes les batailles de la vie. Mais il m’a été montré que l’Eglise a le devoir solennel de s’occuper tout spécialement des veuves, des orphelins et des infirmes privés de ressources. — “Témoignages”, vol. 1, p. 102-104.MB 141.1

    Conseils concernant une œuvre équilibrée — Le Christ ne nous a pas recommandé de travailler uniquement pour les pauvres et d’employer à leur égard tous nos dons. Nous avons un devoir à accomplir envers ceux qui remplissent cette mission : « Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. » L’augmentation du nombre des prédicateurs exigera davantage de fonds. ...MB 141.2

    Lorsque vous dépensez de l’argent, dites-vous : « Est-ce que j’encourage la prodigalité ? » Quand vous donnez aux pauvres, posez-vous cette question : « Est-ce que je les aide, ou leur fais du mal ? » ...MB 141.3

    Pensez aux nécessités de la mission qui nous est confiée : l’évangélisation du monde. ... Notre époque comprend des intérêts éternels, Nous devons proclamer la vérité à un monde qui se perd. Dieu réclame des hommes qui se groupent sous la bannière ensanglantée du Christ pour faire connaître la Bible aux gens, multiplier les camps-meetings dans dif-férentes localités, avertir les villes, aller partout annoncer la Parole. ”,Manuscrit” 4, 1899.MB 141.4

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