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Manuscrits Inédits (19-96) Tome 1

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    La viande n’est pas indispensable en cas de faiblesse.

    J’ai reçu vos lettres et vais maintenant répondre à quelques-uns des points qu’elles contiennent.MI1 265.1

    La Dr A. m’a demandé si, dans certains cas, je conseillerais qu’un patient prenne un peu de bouillon de poulet, s’il est malade et que son estomac ne tolère rien d’autre. J’ai dit : « Il y a des malades qui souffrent de phtisie et qui, s’ils le demandent, devraient en avoir. Mais je serais très prudente ». L’exemple ne devrait pas faire du tort au sanatorium, ni devenir une excuse pour que les autres pensent que leur cas exige le même régime. J’ai demandé au Dr A. s’il y avait un tel cas au sanatorium. Elle a dit : « Non, mais j’ai une sœur au sanatorium de Wahroonga qui est très faible. Elle a des épisodes de faiblesse et d’étourdissements, mais a cuisiné le poulet qu’elle peut manger ». J’ai dit : « Il vaudrait mieux qu’elle quitte le sanatorium ». Elle m’a répondu : « Son mari travaille au sanatorium comme médecin ». [...]MI1 265.2

    J’ai trouvé la femme du Dr B., à Washington, dans les mêmes conditions que la sœur du Dr. A. On disait qu’elle ne pouvait rien manger, sauf de la viande, et que son sang devenait de l’eau. Mais la lumière que j’ai reçue indique que son impression de devoir se nourrir à base de viande était incorrecte. Il m’a été indiqué qu’elle se plaçait mentalement dans une disposition où elle ne devait pas être. Si elle abandonnait la consommation de viande pendant un an, les conditions dans lesquelles elle se trouve maintenant changeraient et son organisme aurait alors l’occasion d’agir à son sain rétablissement. Si elle surmontait le désir de manger de la viande, elle pourrait être en bien meilleure forme et vivre pour glorifier le Seigneur. [...]MI1 265.3

    Selon la lumière qui m’a été donnée, si la sœur mentionnée se reprenait et éduquait son palais à une alimentation saine, tous ses épisodes de vertiges disparaîtraient.MI1 265.4

    Elle a cultivé son imagination. L’ennemi a tiré parti de sa faiblesse physique, et son esprit n’est pas prêt à supporter les difficultés de la vie quotidienne. Elle a besoin d’une thérapie bonne et sanctifiée de l’esprit, d’une augmentation de sa foi et d’un service actif pour le Christ. Elle a aussi besoin d'exercer ses muscles en effectuant des travaux pratiques à l’extérieur. L'exercice physique sera pour elle un des meilleurs bienfaits de sa vie. Ce n’est pas d’être invalide dont elle a besoin, mais d’être une femme saine de corps et d’esprit, prête à jouer son rôle d’une manière noble et bonne.MI1 265.5

    Tout traitement qu’on pourra administrer à cette soeur aura peu d’effet si elle ne fait pas sa part. Elle a besoin de fortifier ses muscles et ses nerfs au moyen d’une activité physique. Elle ne doit pas être invalide, mais peut faire beaucoup et bien. — Lettre 231, 1905, p. 1-3 (au Dr Daniel H. Kress et à son épouse, 11 juillet 1905).MI1 266.1

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