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Manuscrits Inédits (19-96) Tome 1

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    Conseil à ceux qui encouragent la séparation d’un mari et de sa femme.

    J’ai reçu et lu votre lettre. J’ai eu connaissance de plusieurs cas similaires et ai connu ceux dont la conscience dit qu’ils devraient faire quelque chose dans les cas comme celui que vous mentionnez. Après avoir remué les choses de façon générale, puis en détail, ils n’avaient aucune sagesse pour les remettre en place afin d’améliorer la situation. J’ai constaté que ceux qui étaient prompts à démolir les choses ne faisaient pour les remettre en ordre. Ils était capables de confondre, d’affliger et de créer des situation déplorables, mais étaient incapables de les améliorer.MI1 157.3

    Vous m’avez demandé conseil sur ce cas. Je dirais qu’à moins que ceux qui s’inquiètent pour cette question n’aient soigneusement étudié un meilleur arrangement et n’aient trouvé d’endroit confortable pour les personnes concernées, ils feraient mieux de ne pas penser à la séparation. J’espère apprendre que l’on n’insiste pas sur ce point et qu’on aura pas retiré la compassion à ces deux personnes dont les intérêts ont été unis. J’écris cela parce que j’ai vu tant de cas semblables : des personnes trop inquiètes jusqu’à ce que tout soit déraciné et rendu instable, et dont l’intérêt et les préoccupations ne vont ensuite pas plus loin. Chacun devrait savoir que notre zèle va de pair avec notre connaissance. En de tels cas, nous ne devrions pas agir précipitamment, mais considérer chaque aspect de la question. Il faut agir avec beaucoup de prudence et de tendresse compatissante car nous ne connaissons pas toutes les circonstances qui ont provoqué cette situation.MI1 157.4

    Je conseille que ces pauvres personnes soient laissées entre les mains de Dieu et à leur propre conscience, et que l'Église ne les traite pas comme des pécheurs jusqu’à avoir les preuves que le Dieu saint les considère ainsi. Il lit dans les cœurs comme un livre ouvert. Il ne jugera pas comme l’homme juge. — Lettre 5, 1891, p. 1, 2.MI1 158.1

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