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Manuscrits Inédits (19-96) Tome 1

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    Le conjoint coupable n’a pas le droit de se remarier.

    J'ai réfléchi à votre cas concernant et n'ai pas d'autre conseil à vous don ner que celui que j'ai déjà exprimé. Je considère que vous n’avez pas le droit moral d’épouser . Et il n’a pas le droit moral de vous épouser. Il a quitté sa femme après l’avoir considérablement provoquée. Il a abandonnée celle à qui il avait promis devant Dieu d’aimer et de chérir, tant qu’ils vivraient tous les deux. Avant même qu'elle n'ait obtenu le divorce, alors qu'elle était encore légalement sa femme, il l'a quittée pendant trois ans, puis l'a quittée de cœur pour vous exprimer son amour. Cette question a, en grande partie, été arrangée entre vous et un homme marié, alors qu'il était légalement lié à la femme qu’il avait épousée et avec qui il a eu deux enfants.MI1 156.3

    Je ne vois dans les Écritures pas une particule de clémence qui vous soit accordée pour que vous contractiez ce mariage, bien que son épouse ait divorcé. Avec ses provocations, c’est surtout son comportement qui amené ce résultat et je ne puis voir aucune lumière favorable sur un quelconque droit légal d’unir ses intérêts aux vôtres, ou pour que vous unissiez vos intérêts aux siens. [...]MI1 157.1

    Je suis étonnée de ce que vous puissiez même penser un instant à une telle chose et accorder vos affections à un homme marié qui a quitté sa femme et ses enfants en de telles circonstances. Je vous conseille de soumettre vos pensées et vos projets à ce sujet, tels qu’ils sont, à nos frères responsables afin que vous puissiez recevoir leurs conseils et qu’ils vous montrent dans la loi de Dieu l’erreur dans laquelle vous êtes tombée. Vous avez, tous les deux, transgressé la loi rien qu’en pensant que vous pourriez vous marier. Vous auriez dû repousser cette idée, dès sa première insinuation. — Lettre 14,1895, p. 1,2.MI1 157.2

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