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Conseils á L'Eglise

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    Chapitre 29 — La recréation

    Les chrétiens ont à leur disposition de nombreuses occasions d'être heureux, et ils peuvent dire sans se tromper quels sont les plaisirs permis et valables. Il leur est possible de jouir de distractions qui ne fausse pas l'esprit et n'avilissent pas l'âme; qui n'entraînent aucune frustration ni ne laissent derrière elles une influence néfaste détruisant le respect de soi-même ou paralysant toute efficacité. Tant qu'ils peuvent rester en communion avec Jésus et converser un esprit de prière, ils sont en parfaite sécurité. — Ibid., 498.CL 129.1

    Tout divertissement auquel vous pouvez prendre part, et pour lequel vous pouvez, en toute conscience, solliciter l'approbation divine, ne présente aucun danger. Mais toute distraction qui vous rend incapable de prier dans le secret, de vous consacrer à l'adoration ou de participer à une réunion de prière, est dangereuse. — Ibid., 498.CL 129.2

    Nous appartenons à cette catégorie de personnes qui croient que leur privilège est de glorifier Dieu chaque jour de leur vie et qu'elles ne sont pas dans ce monde uniquement pour s'amuser et pour se faire plaisir. Nous sommes ici-bas pour rendre service à l'humanité et exercer une influence bienfaisante sur la société; si nous permettons à notre esprit de s'aventurer sur le même terrain que celui des gens qui n'aspirent qu'à s'étourdir dans la vanité et les plaisirs, de quelle utilité serons-nous pour nos contemporains? Quelle bénédiction pourrons-nous apporter à ceux qui nous entourent? Nous ne saurions impunément nous complaire dans des amusements qui nous disqualifieront pour l'accomplissement fidèle de nos devoirs quotidiens. — Ibid., 498.CL 129.3

    Beaucoup de choses sont bonnes en elles-mêmes, mais perverties par Satan, elles deviennent un piège pour ceux qui n'y prennent point garde. — Ibid., 499.CL 129.4

    Comme dans tous les autres domaines, il faut beaucoup de modération dans les distractions, et l'on devrait en examiner avec soin la nature. Tous les jeunes devraient se demander: Quelle influence ces divertissements auront-ils sur ma santé physique, mentale et spirituelle? Mon esprit en sera-t-il captivé au point d'oublier Dieu? Ne risquerai-je pas de perdre de vue la gloire divine? — Ibid., 497.CL 129.5

    S'ils se proposent d'employer leurs forces physiques et mentales pour la gloire de Dieu, les chrétiens ont le droit et le devoir de stimuler leur esprit et de fortifier leur corps par de saines récréations. Nos distractions ne devraient pas dégénérer en scènes de gaieté folle, qui tournent finalement à la bêtise. Nous pouvons les concevoir d'une manière telle qu'elles élèvent ceux qui y prennent part, leur fassent du bien, et qu'elles nous qualifient tous pour un meilleur accomplissement des devoirs qui nous incombent en tant que chrétiens. — Ibid., 479.CL 129.6

    Le temps passé en exercices physiques n'est pas perdu. ... Il est indispensable de faire travailler chacun de nos organes et de développer chacune de nos facultés si l'on veut fournir un meilleur travail. Si le cerveau est constamment mis à contribution tandis que les autres fonctions restent inactives, il en résulte une perte de force physique et mentale. L'organisme est privé de tonus, l'esprit perd de sa vigueur, il en résulte une agressivité morbide. — Ibid., 480.CL 129.7

    Ceux qui poursuivent des études devraient pouvoir se détendre. L'esprit ne doit pas rester constamment fixé sur un sujet bien précis, sinon le délicat mécanisme mental s'en trouvera affecté. Le corps, tout comme l'esprit, doit prendre de l'exercice. — Ibid., 480.CL 129.8

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