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Conseils á L'Eglise

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    Le privilège d'être un collaborateur de Dieu

    La cause de Dieu ne dépend pas de l'homme. Le Seigneur aurait pu envoyer directement du ciel les moyens financiers nécessaires si, dans sa providence, il avait vu que c'était pour nous la meilleure méthode. Il aurait pu charger les anges de faire connaître la vérité au monde entier, sans le secours humain. Il aurait pu écrire dans l'azur du ciel pour faire connaître au monde sa volonté. Dieu n'a pas besoin de notre or ni de notre argent. Il dit: “Tous les animaux des forêts sont à moi, toutes les bêtes des montagnes par milliers...Si j'avais faim, je ne te le dirais pas, car le monde est à moi et tout ce qu'il renferme.” Psaumes 50:10, 12. Quelque soit notre rôle dans les progrès de la cause de Dieu, c'est une grâce que le Seigneur nous a faite. Il nous a honorés en nous appelant à être ses collaborateurs. Cette coopération des hommes à son œuvre est destinée à développer notre générosité par un exercice constant. La loi morale enjoignait l'observance du sabbat, qui n'était pas un fardeau, à moins d'une transgression qui entraînant les châtiments prévus par la loi. Le système de la dîme n'était pas non plus un fardeau pour ceux qui étaient fidèles. Cette règle donnée aux Hébreux n'a jamais été abrogéeCL 221.2

    Par celui qui en est l'auteur. Au lieu de perdre de sa force, elle aurait dû être maintenue et établie dans l'ère chrétienne, au fur et à mesure que l'on comprenait mieux que le salut ne pouvait s'obtenir que par le Christ. L'Evangile, en se répandant au loin, exigeait des moyens financiers toujours plus importants pour soutenir la lutte qui suivit la mort du Christ; aussi la libéralité devint-elle un devoir plus urgent que du temps des Hébreux. Aujourd'hui, Dieu ne demande pas moins, il exige plus encore que jamais au cours de l'histoire. Le principe établit par le Christ, c'est que les dons et les offrandes devraient être en proportion de la lumière et des bénédictions reçues.CL 221.3

    “On demandera beaucoup à qui l'on a beaucoup donné.” Luc 12:48.CL 221.4

    Un flot de lumière jaillit de la Parole, et il ne faut négliger aucune occasion d'en bénéficier. Lorsque tous rendrons au Seigneur ce qui lui revient; les dîmes et les offrandes, le chemin sera ouvert pour que le monde entende le message pour notre époque. Si le cœur des enfants de Dieu débordait d'amour pour le Christ, si chaque membre d'église était animé de l'esprit de sacrifice, si tous manifestaient une grande sincérité, on ne manquerait pas de fond pour l'œuvre dans notre pays et dans les missions étrangères. Nos ressources se multiplieraient; des milliers de portes s'ouvriraient à l'Evangile. Si les Adventistes s'étaient conformés aux dessins de Dieu en proclamant au monde le message de miséricorde, le Christ serait déjà revenu, et les saints fouleraient la citée céleste.CL 221.5

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