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Le Grand Mouvement Adventiste

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    Chapitre 9 – Le délai

    « Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l’époux. Cinq d’entre elles étaient folles, et cinq sages. Les folles, en prenant leurs lampes, ne prirent point d’huile avec elles ; mais les sages prirent, avec leurs lampes, de l’huile dans des vases. Comme l’époux tardait, toutes s’assoupirent et s’endormirent » (Matthieu 25:1-5).GMA 111.1

    Le Christ est l’époux de la parabole (Marc 2:18-20). Aller à la rencontre de l’époux doit donc représenter un mouvement de la part du peuple du Seigneur pour rencontrer le Christ à sa venue, car le sujet du discours de Matthieu vingt-quatre et vingt-cinq est la venue du Seigneur. La parole de l’Éternel est la lampe (Psaume 119:105). Toutes les vierges prirent leurs lampes. La folie d’une partie des vierges consistait à ne prendre que la théorie de la vérité, sans la sérieuse consécration à Dieu, qui développe les grâces de l’Esprit dans le cœur du croyant. Cette œuvre est représentée dans la parabole par « l’huile dans des vases. » Le retard de l’époux doit représenter un certain désappointement de la part de ceux qui s’attendent à rencontrer leur Seigneur.GMA 111.2

    L’ÉPOQUE OÙ LA PARABOLE S’APPLIQUE

    Le mot « alors », avec lequel la parabole s’ouvre, nous donne un indice sur le moment de son application. Elle suit de près ce qui a été dit dans le chapitre précédent, non pas la seconde venue du Seigneur, mais après que la parabole du figuier ait été proclamée, annonçant que la venue du Christ est « à la porte », et que soit venue la génération qui ne passera pas jusqu’à ce que le Christ lui-même apparaisse sur les nuées du ciel. Elle s’applique également au moment où certains des serviteurs qui ont donné le message disent dans leur cœur : « Mon Seigneur tarde à venir » et se mettent à battre leurs compagnons de service, et à manger et à boire avec les ivrognes.GMA 111.3

    BATTRE LEURS COMPAGNONS DE SERVICE

    Ils furent des « compagnons de service, » proclamant harmonieusement le même message ; mais maintenant une partie d’entre eux se détournent de ce qu’ils ont enseigné, et « battent » leurs compagnons qui donnent « la nourriture au temps convenable », annonçant la préparation nécessaire pour rencontrer le Seigneur qui vient bientôt. Ils « battent » de la même manière qu’on a proposé de frapper Jérémie. Les gens dirent, « Venez, tuons-le avec la langue ; ne prenons pas garde à tous ses discours ! » (Jérémie 18:18). De même ces compagnons commencent à enseigner de façon à entraver le travail des « fidèles » serviteurs. Il est dit à cette même catégorie de personnes, « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde, et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi » (Apocalypse 3:3).GMA 111.4

    La parabole des dix vierges s’applique au moment où des « compagnons de service » se détournent du message de la proche venue du Seigneur, et « ils se mettent à battre. » Ils commencent aussi à faire quelque chose d’autre, à « manger et à boire avec les ivrognes. » Ils se joignent aux parties de ceux qui souhaitent satisfaire leur appétit. Salomon a dit d’eux, « Ne sois pas parmi les buveurs de vin, parmi ceux qui font excès des viandes : Car l’ivrogne et celui qui se livre à des excès s’appauvrissent, et l’assoupissement fait porter des haillons » (Proverbe 23:20-21).GMA 112.1

    LE PREMIER DÉSAPPOINTEMENT

    La question maintenant se pose, « Qu’y a-t-il eu dans l’expérience adventiste qui est l’accomplissement de ces déclarations ? » Il y avait des mouvements qui s’accordaient pleinement avec la prophétie. Ceux qui donnèrent le message jusqu’en avril 1844 travaillèrent dans les églises, et les ministres des différentes églises s’unissaient à leurs efforts. Ils étaient ainsi des « compagnons de service. »GMA 112.2

    Ceux qui donnèrent le message enseignèrent que les deux mille trois cents jours de Daniel 8:14 prendraient fin avec l’année juive 1843, ce qui aurait lieu pendant notre année 1844. Ils proclamèrent que l’heure du jugement de Dieu viendrait à la fin de cette période. Toutes les dénominations de ce pays de l’époque croyaient que le jour du jugement serait introduit par la seconde venue de notre Seigneur. C’est pourquoi les adventistes supposèrent que le Seigneur viendrait à la fin de cette période prophétique. Ils disaient, « Cette période peut se terminer avec le dernier mois de l’année juive 1843 normale, le 21 mars 1844. » Alors ils pensèrent que le dernier jour de mars ou le premier jour d’avril 1844, serait le moment où le Sauveur pourrait venir.GMA 112.3

    LES MÉCHANTS SERVITEURS SE MULTIPLIENT

    Lorsque le dernier jour de mars arriva et passa, et que le Seigneur n’est pas venu, ceux qui avaient précédemment travaillé avec les messagers du Seigneur, mais n’avaient pas consacré entièrement leur vie de tout cœur au message, se sont retournés contre lui, commencèrent à s’opposer à l’œuvre, et firent tout ce qui était en leur pouvoir pour bloquer la voie de ceux qui continuaient encore à enseigner la doctrine du retour proche du Seigneur et le message de l’heure du jugement. « Dans leur cœur » ils disaient, « Mon Seigneur tarde à venir. » Ils enseignaient maintenant que le monde entier devait se convertir avant le retour du Seigneur ; que les juifs devaient tous retourner en Palestine, et rétablir le service du temple à Jérusalem avant que le Messie revienne. Certains ont même enseigné que la venue du Christ était « spirituelle », qu’elle avait lieu à la conversion, et aussi à la mort de son peuple.GMA 112.4

    DONNER « LA NOURRITURE AU TEMPS CONVENABLE »

    Tandis que ces gens se retournaient ainsi contre leurs compagnons de service, ceux qui gardaient toujours une foi ferme réunissaient les croyants dans des salles de conférence et dans les bois, pour leur donner « la nourriture au temps convenable », leur montrant que les signes des temps et la prophétie accomplie déclaraient la même chose qu’avant leur désappointement, que la venue du Christ était « proche, à la porte. »GMA 113.1

    FÊTES D’ÉGLISE

    Tandis qu’ils faisaient cela, les églises protestantes commencèrent à faire ce qu’elles n’avaient jamais fait auparavant, à assembler les gens dans l’église pour faire la fête et « faire du sport. » Tous ceux qui voudraient venir étaient invités à participer avec eux à leurs banquets.GMA 113.2

    La première fois que nous avons entendu parler de quelque chose de ce genre en Amérique fut en mai 1844, juste après le désappointement. Cela se passa ainsi : alors que William Miller instruisait et exhortait plusieurs centaines d’adventistes, dans une salle de Rochester, N.Y., leur disant, « Nous sommes dans le délai de Mathieu vingt-cinq ; retenez votre foi ; nous aurons bientôt plus de lumière sur ce sujet, » il y avait « un festival » dans le sous-sol de l’un des plus grands lieux de rencontre de Rochester. Une foule de gens se réunit, à la fois des membres d’église et des incroyants et, alors que le président d’un collège théologique amusait la foule en ridiculisant William Miller, ils leur vendaient des huîtres, des glaces, des gâteaux, et pour vingt-cinq cents une petite brochure que cet homme avait préparée. Le livre s’appelait, An Expose of Millerism (Exposition du Millérisme).GMA 113.3

    Moins de quinze jours après, une autre dénomination de la même ville organisa « une fête » dans une salle publique, faisant payer l’entrée vingt-cinq cents, et invitant tous ceux qui voudraient venir pour partager avec eux leurs huîtres, crème glacée, gâteaux et bonbons. Ces fêtes modernes commencèrent ici et là dans les églises, qui se développèrent en « soirées folles » « échanges de cadeaux, » « pêche dans des étangs », et ainsi de suite. Cette habitude de festoyer dans les églises s’est tellement développée que maintenant un bâtiment d’église moderne n’est pas à la norme s’il n’a pas sa cuisine, son cellier et sa salle à manger. Cet état de choses débuta pendant le « délai », tout comme la parabole le mentionne.GMA 113.4

    William Miller lui-même parle ainsi de l’incident survenu à Rochester :GMA 114.1

    « L’un des docteurs en théologie de Rochester, M. ____ , de l’église de _____, écrivit un pamphlet contre le Millérisme, il rassembla hommes et femmes dans la maison du Seigneur, fit un grand festin d’huîtres et d’autres friandises, à la Belschatsar, bu le café et le thé, mangea des spécialités coûteuses, vendit des glaces et des sucreries ainsi que son pamphlet contre le second avènement du cher Sauveur.GMA 114.2

    La nuit avant mon départ, un autre révérend fit un pique-nique dans une salle publique et vendit comme ci-dessus, ses billets, sa glace, et ses gourmandises. Je fus heureux d’apprendre que certaines églises de différentes sectes n’ont pas approuvé de telles fêtes babyloniennes ; et j’espère, dans mon âme, qu’on ne trouvera pas toutes ces églises sectaires en train de “manger et boire avec les ivrognes” quand le Christ reviendra. Je m’étonne que ces révérends ne se voient pas dans le miroir de la Parole de Dieu ; et je leur recommanderais de lire Luc 14:12-14 ; Matthieu 24:48-51 ; Luc 13:25-28 ; 2 Pierre 2:13 ; Jude 10-21. Il s’agit sûrement des derniers temps. »GMA 114.3

    Si Frère Miller voyait ce que les églises ont inventé depuis, avec leurs parties pour collecter des dons, avec « les gâteaux à fèves, baisers d’abeilles à 10 centimes, spectacle d’ânes, jeux sociaux délirants, saintes loteries, » et autres mélanges de jeux de hasard, etc., il reculerait avec une sainte horreur.GMA 114.4

    LE DÉLAI

    Les adventistes trouvèrent une consolation dans le fait scripturaire qu’un délai était associé à l’annonce de la prochaine venue du Seigneur. Ils virent cela dans les paroles de notre Sauveur, dans Matthieu 25:5, 6 et dans Habacuc 2:1-3.GMA 114.5

    Quant à leur attitude au printemps de 1844, nous citons le Midnight Cry du 9 mai 1844 :GMA 114.6

    « Ayant dépassé le temps de l’apparente fin de la période prophétique, nous sommes placés dans la position dans laquelle Dieu vit ses enfants placés à la fin de la vision, et à laquelle il pourvut, par le prophète Habacuc, quand il dit, “J’étais à mon poste, Et je me tenais sur la tour ; Je veillais, pour voir ce que l’Éternel me dirait, Et ce que je répliquerais après ma plainte. L’Éternel m’adressa la parole, et il dit : Écris la prophétie : Grave-la sur des tables, Afin qu’on la lise couramment. Car c’est une prophétie dont le temps est déjà fixé, Elle marche vers son terme (des périodes prophétiques), et elle ne mentira pas ; Si elle tarde (au-delà de sa fin apparente), attends-la, Car elle s’accomplira (à la complétion des temps prophétisés, et après quoi) elle s’accomplira certainement” (Habacuc 2:1-3).GMA 114.7

    Cet avertissement fait référence à l’heure actuelle. C’est ce qui ressort de la citation de Paul dans Hébreux 10:36-39 : “Car vous avez besoin de persévérance, afin qu’après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis. Encore un peu, un peu de temps : celui qui doit venir viendra, et il ne tardera pas. Et mon juste vivra par la foi ; mais, s’il se retire, mon âme ne prend pas plaisir en lui. Nous, nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour se perdre, mais de ceux qui ont la foi pour sauver leur âme.”GMA 115.1

    Nous croyons que nous vivons dans cette période dont parle le Sauveur, où l’époux tarde (Matthieu 25:5), et à laquelle le royaume des cieux doit être comparé, quand le méchant serviteur [lorsqu’il y a eu apparemment un délai de temps] dira dans son cœur : “Mon maître tarde à venir, s’il se met à battre ses compagnons, s’il mange et boit avec les ivrognes,” et “le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s’y attend pas.”GMA 115.2

    Nous croyons que nous vivons dans cette période dont parle Pierre, où leur “jugement, dès longtemps, ne demeure pas oisif, et leur destruction ne sommeille pas” (2 Pierre 2:3 Darby) ; lorsqu’ils “introduiront furtivement des sectes de perdition” (2 Pierre 2:1 Darby). Pierre dit que cela devait être, même s’il y avait des faux prophètes lorsque les Écritures ont été écrites. De même que ceux de la maison d’Israël dirent : “Les jours se prolongent, Et toutes les visions restent sans effet” (Ézéchiel 12:22), il devrait aussi y avoir une époque où il y aurait un délai, pendant lequel les moqueurs de 2 Pierre 3:4 pourraient demander, “Où est la promesse de son avènement ?” et se flatter que “tout demeure comme dès le commencement de la création.”GMA 115.3

    Nous croyons que c’était en vue d’un tel retard de la vision que l’apôtre Jacques a dit, “Soyez donc patients, frères jusqu’à l’avènement du Seigneur.” “Vous aussi, soyez patients, affermissez vos cœurs, car l’avènement du Seigneur est proche.” “Voici, le juge est à la porte.”GMA 115.4

    Et nous croyons que c’est en prévision d’un délai dans le temps annoncé que notre Sauveur nous a exhortés, dans le douzième chapitre de Luc, “Que vos reins soient ceints, et vos lampes allumées. Et vous, soyez semblables à des hommes qui attendent que leur maître revienne des noces, afin de lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera” (Luc 12:35-36). Un délai implique que le temps prévu est passé, car jusqu’à ce moment nous n’attendons pas. C’est pourquoi notre Seigneur ajoute, “Heureux ces serviteurs que le maître, à son arrivée, trouvera veillant !”GMA 115.5

    Nous allons continuer, Dieu voulant, à proclamer, “Voici l’Époux ! Venez à sa rencontre” ; et “l’heure de son jugement est venue.” Et nous avons confiance que nous ne manquerons pas de continuer à exhorter à haute voix le monde et l’église à se réveiller de leurs chansons de “paix”, et à écouter les appels miséricordieux de Dieu. Nous avons l’intention de continuer à attendre la venue du Seigneur et à veiller, croyant qu’elle est proche de nous. »GMA 115.6

    UNE JUSTIFICATION DE LEUR ŒUVRE

    Une bonne idée de la façon dont les adventistes regardaient leur œuvre avant le 21 mars 1844, et juste après cette date, peut être obtenue par la lecture de la citation suivante, tirée d’un article intitulé, « Justification », dans le journal Advent Herald du 13 novembre 1844, publié par J. V. Himes, S. Bliss, et A. Hale :GMA 116.1

    « Nous ne nous sommes pas pressés à accepter nos opinions. Nous croyons que nous étions d’honnêtes et sincères chercheurs de la vérité. Nous avons obéi à la commande de notre Sauveur de sonder les Écritures. Nous ne nous sommes pas fondés sur notre propre sagesse ; mais nous nous sommes tournés vers Dieu pour conseil et direction, et nous nous sommes efforcés de nous consacrer sur son autel, confiants qu’il dirigerait bien nos pas. Nous avons examiné tous les arguments qui ont été avancés contre nous avec le désir sincère de connaître la vérité et d’être préservés de l’erreur ; mais il faut avouer que les diverses et multiformes positions de nos adversaires nous ont confirmés dans nos opinions. Que nous ayons raison ou tort, nous avons vu que nos adversaires ne pouvaient pas avoir raison et qu’ils n’étaient pas d’accord entre eux. Tous leurs arguments étaient si faibles et puérils qu’ils étaient dans la nécessité constante d’annuler ce qu’ils avaient eux-mêmes fait ; et par leurs opinions opposées et contradictoires, ils ont démontré que, quelle que soit la façon dont ils considéraient nos opinions, ils n’avaient aucune confiance dans les opinions des autres. Et, de plus, il n’y a pas un seul point important de toute notre position qui n’ait pas été soutenu par un ou plusieurs de ceux qui travaillaient à réfuter la venue du Seigneur. Alors que nous avions le sens littéral des Écritures pour nous soutenir, nos adversaires s’efforçaient en vain de prouver que les Écritures ne doivent pas être comprises littéralement, bien que toutes les prophéties qui ont été accomplies l’ont été littéralement dans leurs plus petits détails.GMA 116.2

    LE DÉSAPPOINTEMENT EXPLIQUÉ

    Mais le temps fixé, l’année juive 1843, est passé, et nous avons été déçus en ne voyant pas le Roi dans sa beauté. Et tous ceux qui s’opposaient à nous honnêtement supposèrent que chaque caractéristique distinctive de notre foi avait été démontrée fausse, et que nous devrions, en hommes honnêtes, abandonner toute notre position. Et donc, c’est avec surprise qu’ils nous ont vus nous accrochant encore à notre espérance, et attendant encore notre Roi.GMA 116.3

    Nous n’avons pas vu, cependant, dans notre désappointement, une raison de découragement. Nous avons vu que les Écritures indiquaient qu’il devait y avoir un retard, et bien que la vision tarde nous devons l’attendre. Nous avons vu aussi qu’à la fin de l’année, la période ne pouvait pas être complètement terminée, même avec la supposition que notre chronologie fut exacte ; et qu’elle pourrait s’accomplir à un certain moment de l’année ; et cependant nous avons franchement et pleinement admis au monde que nous avions été dans l’erreur sur le point précis que nous avions considéré avec tant de confiance ; mais tandis que nous étions ainsi dans l’erreur, nous pouvons voir la main de Dieu dans cette affaire. Nous pouvons voir qu’il a utilisé cette proclamation comme une alarme pour le monde et un test pour l’église. Il a mis son peuple dans une attitude d’attente. Ceux qui étaient prêts à souffrir pour lui se sentirent appelés. Cela a révélé ceux pour qui l’annonce de la venue du Seigneur fut une nouvelle causant une grande joie, et ceux pour qui il s’agissait d’un son indésirable à leurs oreilles. Cela a montré à l’univers ceux qui recevraient le retour du Seigneur, et ceux qui le rejetteraient lors de sa deuxième venue, comme les Juifs l’ont fait à sa première venue. Et nous la considérons comme une étape dans l’accomplissement du plan de Dieu, dans son “jour de préparation”, pour qu’il conduise un peuple qui ne doit rechercher que la volonté du Seigneur, pour qu’ils soient prêts pour sa venue. »GMA 117.1

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