Problèmes relatifs à l'observation du sabbat
Pourquoi avoir peur? — Souvent, quand nos pasteurs présentent la vérité décisive du sabbat, certains hésitent à l'accepter par crainte de se précipiter, eux et leur famille, dans la pauvreté et les privations. Ces hommes disent: Oui, je comprends ce que vous essayez de m'expliquer concernant l'observation du sabbat hebdomadaire; mais si je le respecte, je crains de perdre ma situation, et de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de ma famille. C'est ainsi que bien des personnes gardent leur position dans le monde en désobéissant au commandement de Dieu. Mais ce passage (Luc 12:1-7) nous enseigne que le Seigneur est au courant de tous les détails de notre vie; il comprend nos problèmes et il prend soin de tous ceux qui s'appliquent à le connaître. Jamais il ne permettra que ses enfants soient tentés au-delà de leurs forces.Év 217.1
Le Christ dit à ses disciples: “Ne vous inquiétez pas pour votre vie, de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus. La vie est plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement. Considérez les corbeaux: ils ne sèment ni ne moissonnent et ils n'ont ni cellier ni grenier; et Dieu les nourrit. Combien ne valez-vous pas plus que les oiseaux! Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie? Si donc vous ne pouvez pas même la moindre chose, pourquoi vous inquiétez-vous du reste?”Év 217.2
Et leur montrant le lis des champs dans sa beauté et sa pureté, le Sauveur continua: “Considérez comment croissent les lis: ils ne travaillent ni ne filent; cependant je vous dis que Salomon même dans toute sa gloire, n'a pas été vêtu comme l'un d'eux. Si Dieu revêt ainsi l'herbe qui est aujourd'hui dans les champs et qui demain sera jetée au four, à combien plus forte raison ne vous vêtira-t-il pas, gens de peu de foi? Et vous, ne cherchez pas ce que vous mangerez et ce que vous boirez, et ne soyez pas inquiets. Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez plutôt le royaume de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.” Luc 12:22-31.Év 217.3
Le Christ nous enseigne là une précieuse leçon, concernant notre mission. Quelles que soient les expériences que vous traversiez, dit-il, obéissez à Dieu. Quelles que soient les difficultés et les épreuves que vous ayez à affronter, faites confiance au Seigneur. Si nous prenons position pour la vérité, nous n'avons pas lieu de nous inquiéter et d'avoir peur de souffrir. Avoir de telles pensées, c'est témoigner d'un manque de confiance en Dieu. “Votre Père Céleste sait que vous en avez besoin”, dit le Sauveur. Si nous étions plus assidus à l'étude de la Parole de Dieu, notre foi grandirait. — Manuscrit 83, 1909.Év 218.1
Ceux qui ont à affronter des problèmes économiques — Nous vivons des heures décisives pour les localités où un intérêt a été suscité. Un grand nombre de gens. ... sont à la veille d'une décision. Que le Seigneur donne à ses serviteurs la sagesse nécessaire pour adresser à ces âmes des paroles susceptibles de les encourager à témoigner pour la vérité, à abandonner leur volonté et à soumettre leur cœur entièrement à Dieu. Nous demandons au Seigneur de donner la foi à ces personnes convaincues de la vérité, à savoir que le septième jour est le sabbat de l'Éternel, afin qu'elles ne se laissent pas guider par leurs impressions personnelles et qu'elles ne permettent pas à l'ennemi de les persuader que le sacrifice demandé est trop grand.Év 218.2
Ces gens subiront des pertes sur le plan matériel; aussi ne devraient-ils pas manquer de mains secourables. Nombreux sont ceux qui se posent des questions: “Comment pouvons-nous subvenir aux besoins de nos familles? Quand nous déciderons de sanctifier le septième jour et de ne plus travailler le sabbat, nous perdrons notre emploi. Nos familles ne risquent-elles pas de souffrir de la faim?” Que pouvons-nous leur répondre? On voit partout des pauvres et de multiples besoins, et les âmes sincères ne savent que faire. Elles n'osent pas prendre des risques; pourtant, elles sont profondément persuadées que le septième jour est le sabbat de l'Éternel. Elles savent que Dieu a béni le septième jour et qu'il l'a sanctifié pour que l'homme l'observe comme un mémorial de la création, accomplie en six jours et de son repos le septième jour.Év 218.3
Quand nous voyons les difficultés s'amonceler comme des montagnes devant ces gens, et que nous songeons à la crainte qu'ils éprouvent concernant leurs besoins et ceux de leurs enfants, nos cœurs sont affligés. Bien des personnes disent: “Je voudrais bien observer le septième jour, mais si je dis à mon patron que j'ai décidé d'observer le samedi, je serai sûrement congédié.” Des centaines attendent l'occasion de prendre la moindre place vacante. Je suis très préoccupée. Tout ce que je peux faire, c'est encourager ces gens à garder confiance, et prier pour eux. Je souhaiterais parfois disposer d'un million de dollars. Je pourrais investir chaque dollar dans cette œuvre. ...Év 218.4
Beaucoup deviennent — de propos délibéré — des transgresseurs de la sainte loi de Dieu, parce qu'ils se sont unis et ont fait cause commune avec des camarades qui sont des instruments de Satan. Dieu leur envoie la lumière pour ouvrir leurs yeux, mais ils refusent d'accepter la Parole de Dieu telle qu'elle est écrite. Ils préfèrent accorder crédit à l'erreur et souscrire aux mensonges de Satan plutôt qu'aux affirmations: “Ainsi parle l'Éternel.” A cause de ceux qui prennent ainsi parti pour l'erreur, il est très difficile aux personnes qui comprennent la vérité d'y obéir. A vues humaines, ceux qui observent le sabbat ne peuvent s'attendre à rien d'autre qu'à mourir de faim. — Manuscrit 19, 1894.Év 219.1
D'encourageantes promesses — Personne ne saurait craindre que l'observation du vrai sabbat conduise à mourir de faim. Ésaïe 58:11, 12; Proverbes 7:2; Ésaïe 58:14. De telles promesses suffisent à faire tomber tous les prétextes qu'un homme peut invoquer pour refuser d'observer le sabbat. Et si, après avoir commencé à garder la loi de Dieu, il semblait impossible à quelqu'un de subvenir aux besoins de sa famille, que toute âme sceptique sache que le Seigneur a promis de prendre soin de ceux qui obéissent à ses commandements. — Manuscrit 116, 1902.Év 219.2
Qualités requises — Prendre la décision de garder les commandements de Dieu suppose un grand courage moral. Un ennemi de la vérité a pu dire que seuls des faibles d'esprit, des détraqués et des ignorants quittaient leur Église pour observer le septième jour comme le sabbat. Ce à quoi un pasteur — qui avait accepté la vérité — répliqua: “Si vous croyez qu'il faut être faible d'esprit, eh bien essayez donc!” En fait, pour adopter ainsi une position impopulaire, il faut du courage moral, de la fermeté, de l'énergie, de la persévérance et beaucoup de piété. Nous sommes reconnaissants de pouvoir venir au Christ comme les pauvres et les affligés s'approchaient de lui dans le temple. ...Év 219.3
Vous n'avez pas osé fouler aux pieds les commandements de Dieu, et vous avez pris position pour une vérité impopulaire, quel qu'en puisse être le résultat. Est-il concevable que le Seigneur se détourne un jour de vous et vous laisse vous débattre seul avec vos problèmes? Jamais de la vie! Cependant, il n'a jamais dit à ses disciples qu'ils ne seraient nullement éprouvés, qu'ils n'auraient pas à pratiquer le renoncement ni à faire de sacrifices. Le Maître était lui-même un homme de douleur et habitué à la souffrance. “Car vous connaisssez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, qui pour vous s'est fait pauvre, de riche qu'il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis.” 2 Corinthiens 8:9. Nous rendons grâces à Dieu de ce que, dans votre pauvreté, vous pouvez appeler Dieu votre Père.Év 220.1
La pauvreté se répand dans ce monde, et il surviendra un temps de trouble tel qu'il n'y en a point eu depuis que les nations existent. Il y aura des guerres et des bruits de guerres, si bien que les visages des humains deviendront pâles de frayeur. Il se peut que vous soyez affligés, que vous souffriez parfois de la faim, mais Dieu ne vous abandonnera pas dans vos souffrances. Il mettra votre foi à l'épreuve. Nous ne sommes pas là pour nous complaire en nous-mêmes. Nous sommes appelés à exalter le Christ aux yeux du monde, à le représenter et à témoigner de sa puissance envers l'humanité. — Manuscrit 37, 1894.Év 220.2
Nous fier essentiellement à la Parole de Dieu — Au désert, alors que tout autre moyen de subsistance faisait défaut, Dieu envoya du ciel la manne à son peuple, en quantité suffisante, et d'une manière constante. Il montrait ainsi qu'il ne l'abandonnerait pas aussi longtemps qu'il se confierait en lui et marcherait dans ses voies. Le Sauveur mit alors en pratique la leçon qu'il avait enseignée à Israël. L'armée des Hébreux avait été secourue par la Parole de Dieu, et Jésus allait être secouru par la même Parole. Il attendit le moment fixé par Dieu pour la délivrance. C'est par obéissance à Dieu qu'il se trouvait au désert, et il ne voulut pas se procurer des aliments en suivant les suggestions de Satan. En présence de l'univers témoin de cette scène, il montra que c'est un moindre mal de souffrir quoi qu'il advienne, plutôt que de s'écarter, si peu que ce soit, de la volonté de Dieu.Év 220.3
“L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.” Souvent le disciple du Christ est placé dans l'impossibilité de servir Dieu en même temps qu'il s'occupe avec succès de ses entreprises terrestres. Il pourra sembler parfois que l'obéissance à un commandement de Dieu clairement révélé aura pour effet de supprimer tout moyen d'existence. Satan voudra alors faire croire qu'il est préférable de sacrifier les convictions de la conscience. Mais il n'y a qu'une chose au monde à laquelle nous puissions nous fier: la Parole de Dieu. “Cherchez premièrement son royaume et sa justice; et tout cela vous sera donné par surcroît.” Même dans cette vie-ci il ne nous est pas avantageux de nous départir de la volonté de notre Père céleste. Si nous avons appris à connaître la puissance de sa Parole, nous ne suivrons pas les suggestions de Satan pour nous procurer de la nourriture ou pour sauver notre vie. Nous nous demanderons seulement: Qu'est-ce que Dieu a commandé? Qu'a-t-il promis? Ayant répondu à ces questions, nous obéirons au commandement, et nous aurons foi à la promesse. — Jésus Christ, 102, 103 (1898).Év 221.1
Appel à celui qui doit prendre une décision — L'ennemi vous disait d'attendre une occasion meilleure. Son stratagème consistait à vous présenter les avantages que vous auriez à ne pas observer le sabbat, et les désavantages qu'entraînerait pour vous l'observation du sabbat. Il a argumenté habilement pour vous convaincre de désobéir à la loi de Dieu. C'est un trompeur. Il fausse le caractère de Dieu, et vous avez cédé à sa tentation. Toute votre imagination a engendré de la méfiance à l'égard de votre Père céleste.Év 221.2
Vous avez pensé que vous obéiriez au quatrième commandement relatif au sabbat dès que vos affaires seraient un peu plus prospères. Mais le Seigneur attend de chacun une complète obéissance. Vous connaissiez les exigences de Dieu mais vous avez temporisé. Alors Satan n'a cessé d'œuvrer pour rendre toujours plus difficile à vos yeux votre décision d'observer le sabbat. Au contraire, vous êtes devenu de moins en moins réceptif à l'action du Saint-Esprit dans votre cœur. Le Seigneur m'a donné un message pour vous et pour vos enfants: il faut accomplir votre devoir longtemps négligé, marcher dans la lumière car il est dans la lumière. “Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée.” Au docteur de la loi qui avait rappelé ces principes, Jésus dit: “Fais cela, et tu vivras.” C'est encore ainsi que Dieu vous parle, à vous et à vos enfants. La loi de Dieu est à la fois bonne, juste et avantageuse pour quiconque lui obéit; en obéissant, vous ferez honneur à Dieu.Év 221.3
Si votre esprit se conforme à la volonté de Dieu en obéissant à ses commandements, pensez-vous que le Seigneur ne voudra pas prendre soin de vous et de vos besoins temporels? Vous avez été presque convaincu, et vous n'avez pas obéi. Vous avez cru devoir attendre jusqu'à ce que le chemin s'ouvre clairement devant vous. Mais le Seigneur a laissé à tout homme la responsabilité de ses actions. Les droits de Dieu doivent tenir la première place dans vos pensées. Obéir à Dieu est votre premier devoir. Et pour ce qui est des conséquences, laissez-lui les assumer. Vous hésitez parce que vous n'avez plus maintenant les fermes convictions que vous aviez auparavant, et vous n'êtes plus disposé à obéir. N'attendez pas d'éprouver de nouveau une conviction profonde. Il vous faut obéir à Dieu, prendre position vis-à-vis de la vérité, que vous vous sentiez attiré ou non. Votre devoir maintenant est d'agir sans délai conformément aux principes et de prendre vos décisions sans vous occuper des conséquences. — Lettre 72, 1893.Év 222.1
Vivez en harmonie avec chaque rayon de lumière — Vivez en harmonie avec chaque rayon de lumière que vous avez reçu. Il y va de votre intérêt éternel; c'est pourquoi je vous dis: “Chérissez chaque rayon de lumière.” A genoux, demandez au Christ d'impressionner votre cœur par son Saint-Esprit, et ne vous détournez pas de sa loi. — Manuscrit 10, 1894.Év 222.2
Mieux vaut perdre une situation que de perdre Jésus — Ne croyez pas que si vous prenez position en faveur de la vérité divine vous perdrez votre situation. Il vaudrait mieux perdre votre situation que de perdre Jésus. Il vaudrait mieux participer à l'abnégation et aux sacrifices du Seigneur que d'agir à votre guise en cherchant à gagner pour vous-même les trésors de cette vie. Vous n'emporterez aucun d'eux dans la tombe et vous sortirez complètement démuni de la tombe. Mais si vous avez Jésus, vous aurez toutes choses. Il est tout ce dont vous avez besoin pour rester debout au jour du Seigneur. Que vous faut-il de plus? — Manuscrit 20, 1894.Év 222.3
Une attitude ferme — L'homme a beau formuler toutes les critiques possibles, les commandements de Dieu n'en sont pas moins les commandements de Dieu. Nous avons décidé de garder les commandements, de vivre selon leurs principes, et de [préserver] la loi de Dieu comme la prunelle de nos yeux. Laissez les hommes tourner la loi de Dieu en dérision et fouler aux pieds un peuple qui garde ses commandements. Peuvent-ils agir ainsi et vivre? C'est impossible. Dieu a ses critères pour apprécier les caractères, et ce sont ceux qui lui obéissent qui vivent, et ceux qui gardent ses commandements comme la prunelle de leurs yeux seront protégés par lui. — Manuscrit 5, 1891.Év 223.1
Offres d'emploi pour de nouveaux observateurs du sabbat — Parmi ceux qui ont accepté la vérité à..., l'hiver dernier, un jeune homme a quitté l'école qu'il fréquentait pour observer le sabbat. On lui a demandé ce qu'il espérait faire dans la vie. Il a répondu: “Puisque Dieu m'a donné la force physique, je ferai n'importe quel travail plutôt que de transgresser ses commandements.” Plusieurs avaient la conviction qu'il fallait lui offrir une place au bureau de l'imprimerie. Mais quelqu'un a dit: “Non! Quand il aura démontré sa volonté d'obéir à Dieu coûte que coûte, alors nous saurons qu'il est vraiment l'homme dont nous avons besoin pour cet emploi. Mais s'il n'a pas assez de force de caractère pour agir ainsi, il est précisément l'homme que nous ne souhaitons pas.”Év 223.2
Frère... vint vers moi pour me demander s'il devait encourager le jeune homme à penser qu'on lui donnerait une place au bureau. Je répondis: “Le Dieu du ciel lui a montré le poids éternel de gloire qui attend le vainqueur; si, à l'exemple de Moïse, il apprécie la récompense à sa juste valeur, il prendra résolument position en faveur de la vérité. Mais lui faire miroiter quelque avantage que ce soit, loin de lui être bénéfique, lui serait néfaste. Votre devoir à présent est de l'aider à voir qu'il doit marcher par la foi. Toutefois, ne le laissez pas livrer cette bataille tout seul; Satan va le tenter et vous devez lui offrir tout le soutien possible.” — Manuscrit 26, 1886.Év 223.3
Les observateurs du sabbat ne doivent pas user de compromis — Une réforme concernant le sabbat est nécessaire parmi nous qui professons observer le saint jour de repos divin. Certains discutent affaires et font des plans pendant le sabbat; Dieu considère cela de la même manière que s'ils étaient engagés dans de vraies transactions commerciales.Év 224.1
D'autres, tout en connaissant parfaitement les arguments bibliques selon lesquels le sabbat est le septième jour, n'hésitent pas à s'associer avec des hommes qui n'ont aucun respect pour le saint jour de Dieu. Un observateur du sabbat ne peut pas permettre à ses employés, payés avec son argent, de travailler le sabbat. Si, par souci lucratif, il autorise un de ses associés, incrédule, à faire fonctionner son affaire dont il tire bénéfice le jour du sabbat, il est coupable autant que l'incroyant; son devoir est de rompre une telle association, quelque perte qu'il en subisse. Les hommes pensent qu'ils ne peuvent pas s'offrir le luxe d'obéir à Dieu, mais celui qu'ils ne peuvent pas s'offrir, c'est de lui désobéir. Ceux qui seront négligents dans l'observation du sabbat subiront de grandes pertes. — The Review and Herald, 18 mars 1884.Év 224.2
Un emploi pour les observateurs du sabbat — Nous sommes ici en présence de la meilleure catégorie d'hommes pour laquelle travailler. Nombre d'entre eux n'auraient aucune difficulté à observer le sabbat. X est un endroit où l'on élève beaucoup de volailles. On trouve des basses-cours à proximité de presque toutes les habitations de banlieue. Les maisons ne sont pas construites en terrasses, mais séparées les unes des autres, souvent environnées de plusieurs arpents de terre. On y élève toutes sortes de volailles, et les œufs trouvent un marché tout près à... et..., et sont transportés à la ville par bateau.Év 224.3
J'écris cela pour que vous puissiez comprendre la situation. L'élevage de volailles est une source de revenus pour beaucoup de familles, et celles-ci ne peuvent pas soulever l'objection que beaucoup avancent contre l'observation du sabbat, à savoir qu'elle est incompatible avec leur métier. Elles peuvent observer le sabbat sans craindre de perdre leur emploi. — Lettre 113, 1902.Év 224.4